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mercredi 6 septembre 2023

Coût de l'immigration : un article complotiste ???

 L’immigration coûterait au moins 53,9 milliards d’euros par an au contribuable, selon une étude du démographe Jean-Paul Gourévitch

Par Etienne Fauchaire

28 août 2023 08:49
 

Une richesse pour la France. La gauche a longtemps affirmé que l’immigration ne pesait pas sur les finances publiques. Bien au contraire, les immigrés viendraient participer à l’enrichissement économique du pays, assurait-elle. Ces propos sont notamment basés sur les recherches des professeurs Xavier Chojnicki et Lionel Ragot. Dans une étude parue en 2010, les universitaires concluaient à un bénéfice net de l’immigration de 12 milliards d’euros, provoquant alors un tollé qui les amènera à réévaluer, en 2012, ce solde positif à 3,9 milliards d’euros.

Finalement, en 2018, dans l’étude du Centre d’études prospectives et d’informations internationales (CEPII), les mêmes auteurs admettront que l’immigration est la cause d’un déficit public estimé à 1,4 milliards d’euros, battant ainsi en brèche la théorie relative à son impact économique positif.

« Les rentrées d’argent issues de l’immigration pèsent peu face aux dépenses multiples qu’engendre l’immigration régulière et irrégulière »

Ce constat reste cependant bien en-deçà de la réalité, selon les découvertes de Jean-Paul Gourévitch. 53,9 milliards d’euros chaque année, voilà le véritable coût de l’immigration. Un chiffre qui pourrait être encore plus important en raison d’une marge d’incertitude qualifiée par le démographe de « pénombre de l’immigration ». Obtenir les chiffres utiles à la réalisation de son étude s’est en effet révélé un vrai parcours du combattant en raison d’une réticence des ministères, collectivités territoriales et associations à les communiquer, mais aussi en raison de leur inexistence à certains niveaux. « Dans la colonne des bénéfices, explique-t-il dans un entretien au Figaro, il est quasi impossible d’évaluer ce que rapportent les investissements en termes d’éducation et de politique de la ville, qui visent à améliorer les compétences et les conditions de vie des immigrés et de leurs descendants directs. Le bénéfice est réel, mais différé. Dans la colonne des coûts, l’impossibilité d’obtenir un montant précis des fonds publics directement dédiés aux associations d’aide aux migrants nous a contraints à faire une évaluation, que nous estimons au minimum à 1,2 milliard d’euros. Et comme nous ne pouvons pas mesurer l’efficacité à long terme de ces investissements, à effet différé et aléatoire, nous les avons inscrits eux aussi dans cette zone grise. »

Dissimulation ou négligence ? Le chercheur ne veut pas trancher. Quoi qu’il en soit, il estime que son travail peut néanmoins servir de « base » afin de « faciliter la prise de conscience de ce que l’immigration représente en termes financiers pour notre pays ».

Pour Benoît Perrin, directeur de Contribuables associés, « l’immigration doit être traitée au même titre que la dette, les dépenses publiques, la fiscalité ou encore les gaspillages. Elle coûte cher au contribuable : 53,9 milliards par an, c’est plus de quatre fois le budget du ministère de la Justice. Certes, elle génère des recettes, fiscales et non fiscales, et des contributions sociales, mais ces rentrées pèsent peu face aux dépenses multiples qu’engendre l’immigration régulière — en termes de prestations sociales, de coûts régaliens, sociétaux, éducatifs… — et irrégulière — coûts médicaux, de lutte contre l’immigration irrégulière, hébergement d’urgence. Notre objectif est de nourrir les débats, d’abord au Sénat, où le projet de loi immigration doit être discuté en septembre, puis à l’Assemblée nationale quand le texte reviendra devant les députés. Cette étude devrait être réalisée chaque année par les services de l’État mais, par manque de courage, ce n’est jamais fait. »

Coûts directs et indirects

Les dépenses associées à l’immigration régulière sont principalement des prestations sociales : revenu de solidarité active (RSA), dépenses couvertes par la Sécurité sociale, chômage. Ainsi, la part de l’immigration dans les 12,36 milliards versés en 2022 au titre du RSA est d’un peu moins de 3 milliards. S’agissant des dépenses couvertes par la Sécurité sociale, celles prenant en charge la maladie constituent le plus gros poste de déficit : 41,44 milliards en 2022.

Les migrations occasionnent aussi des coûts indirects, via les frais de fonctionnement des organismes qui les gèrent, Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) et Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) en tête, mais aussi en raison du travail déployé par la police et la justice. D’après les calculs de Jean-Paul Gourévitch, la proportion de l’ensemble de la délinquance étrangère dans la petite délinquance est de 71 %. Pour le trafic de drogue, dont le coût pour l’État se chiffre à quelque 13 milliards d’euros, 12,48 milliards seraient imputables à l’immigration.

Combien coûte l’immigration clandestine ? Malgré l’augmentation du parc dédié aux demandeurs d’asile qui comptabilise aujourd’hui plus de 100.000 places, sa capacité ne permet d’héberger qu’un demandeur d’asile sur deux, les autres vivant dans des hôtels au frais du contribuable dans le cadre du dispositif intitulé « abri inconditionnel » : un hébergement gratuit et sans limitation de durée pour l’immigré irrégulier. Une singularité française qui n’existe nullement ailleurs en Europe. Selon l’expert, qui se base sur les chiffres rendus publics en 2020 par Didier Leschi, directeur de l’Ofii, dans son livre Ce grand dérangement. L’immigration en face, le coût annuel de l’hébergement se situe à 3 milliards d’euros.

Jean-Paul Gourévitch s’est aussi penché sur la rentabilité des investissements extérieurs de l’État, essentiellement l’aide publique française au développement des pays d’origine des candidats à l’immigration. En 2022, elle atteignait 16 milliards d’euros, un record historique, tandis qu’elle coûtait 10,3 milliards en 2018. L’Afrique subsaharienne a perçu près d’un tiers de ces versements, soit six milliards d’euros, dont 2,4 milliards ont l’objectif spécifique de donner à ses bénéficiaires des raisons de rester dans leur pays d’origine. Pourtant, selon Jean-Paul Gourévitch, ces aides « tendent paradoxalement à accroître le désir et les opportunités de migration plus qu’à les contenir », parce qu’une fois formés, ses récipiendaires ne parviennent pas à décrocher sur place un emploi en phase avec leurs compétences et qu’une partie de ces prestations est employée à des fins d’émigration.

SOURCE

A ce propos, on peut lire :

Marée migratoire vers l’Europe, la permanence de coefficients élevés (2015)

Migrants et réfugiés africains en Europe (2015)

Espagne : immigration et intérêts économiques

 

 

lundi 21 août 2023

Le "Q", le "Q", "Queer"...

 La sinistre théorie derrière le «Q» de LGBTQ

La sombre vérité derrière la théorie queer : pédophilie, inceste, bestialité
Par Darlene McCormick Sanchez 19 août 2023 12:39

 

La droite s’est focalisée sur le T de LGBTQ dans le cadre de la guerre culturelle en cours. Mais beaucoup ne savent pas que le Q de l’acronyme représente une théorie encore plus extrême qui défend la pédophilie, l’inceste et la bestialité, et prône une destruction complète des normes sexuelles traditionnelles.

Le Q, qui signifie « queer » (« bizarre, dévié »), est enraciné dans la théorie queer, une idéologie de la sexualité qui a commencé à gagner en popularité dans les années 1970. De nombreux philosophes influents et auteurs de cette théorie ont plaidé en faveur de la normalisation de la pédophilie et pire encore.

L’accent mis récemment par la droite sur l’idéologie transgenre a permis au mouvement queer de se développer tranquillement. Des organisations américaines telles que les syndicats d’enseignants et la Planned Parenthood Federation of America (Fédération de planning familiale des Etats-Unis), ainsi que des organisations internationales telles que les Nations unies, plaident en faveur de l’éducation sexuelle des enfants dès l’âge de la maternelle.

Dans le même temps, les théoriciens queer adoptent l’idée que les lois sur le consentement sexuel devraient être supprimées pour tous les enfants, même les nourrissons.

Aux États-Unis, bien que l’idéologie du genre et le transgenrisme aient attiré le plus d’attention, la droite et la gauche ont tiré la sonnette d’alarme au sujet de la théorie queer, qui est pourtant passée inaperçue.

Le commentateur James Lindsay, auteur de The Marxification of Education (La marxisation de l’éducation), a déclaré à Epoch Times que la théorie queer avait détourné le mouvement des droits des homosexuels.

En réalité, cette théorie propose de perturber la politique sociale. Elle ne croit pas aux limites du comportement sexuel, y compris aux tabous tels que la pédophilie, l’inceste et toutes formes de bestialité.

Selon le commentateur James Lindsay, la théorie queer a deux objectifs : tout dissoudre jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de définition de la normalité, et donner du pouvoir aux agresseurs. (Brendon Fallon/Epoch Times)

M. Lindsay considère Michel Foucault, philosophe postmoderne français qui a écrit Histoire de la sexualité en 1978, comme le père de la théorie queer.

Foucault, accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec des garçons prépubères âgés de 8 ans dans un cimetière en Tunisie, a rejeté toutes les étiquettes et frontières sexuelles.

« Il est reconnu comme déviant qu’un adulte veuille avoir des relations sexuelles avec un enfant », a déclaré M. Lindsay. Mais les pédophiles considèrent plus que normal d’avoir des relations sexuelles avec des enfants. Pour les théoriciens queer, pour lesquels tout est permis, la pédophilie est donc plus qu’acceptable.

Derrick Jensen est conférencier et auteur de plus de 20 livres, principalement sur les questions environnementales. À un moment donné, cet habitant de la Californie se considérait comme un militant écologiste de la vieille école.

Aujourd’hui, la gauche le déteste parce qu’il a osé s’opposer à la théorie queer.

« La gauche nous a abandonnés, et c’est comme si j’étais politiquement sans abri », a-t-il déclaré à Epoch Times.

Selon M. Jensen, la théorie queer est influencée par le postmodernisme, qui ne croit ni à la notion de vérité ni à celle de réalité.

De même, la théorie queer examine ce qui est normal et ce qui peut nuire ou favoriser. Selon lui, la réponse est simple : La normalité est oppressive.

« Tout ce qui est sexuel doit être acceptable », a-t-il affirmé, ajoutant qu’il s’agissait de tout type de fétichisme, voire de viol.

La théorie queer soutient que le viol d’un enfant n’est pas à l’origine du mal causé par les relations sexuelles entre adultes et enfants, mais qu’elle est causée par une société qui fait en sorte que l’enfant se sente coupable d’avoir des relations sexuelles, explique M. Jensen.

Comme d’autres, M. Jensen estime que Foucault, décédé en 1984, a embrassé la pédophilie.

Foucault a eu des relations sexuelles avec des garçons et « a plaidé pour l’abrogation des lois sur l’âge du consentement pour que ce dernier soit ramené à celui des enfants en bas âge », a déclaré M. Jensen.

Les contributeurs à la théorie queer tels que Foucault et Gayle Rubin, une autre fondatrice connue pour avoir développé des théories politiques sur le sexe et le genre, ont contribué à une idéologie qui rationaliserait le « fétichisme », a-t-il expliqué.

Allen Ginsberg, poète célèbre décédé en 1997, a incarné certaines des idées du mouvement avant que la théorie queer ne voie le jour, a ajouté M. Jensen.

Ginsberg était un partisan et un membre de la North American Man/Boy Love Association et a écrit un essai en 1994 pour défendre les relations sexuelles avec des enfants.

« Les garçons et les filles pubères n’ont pas besoin d’être protégés de vous et moi, grands et poilus. Ils s’habitueront à nos ébats (sic) dans deux jours, à condition que les adultes qui les contrôlent cessent de faire ces bruits hystériques qui font ressembler tout ce qui est sexy à un viol », a écrit Ginsberg.

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dimanche 6 août 2023

Les globalistes proposent un “choc financier” et des contrôles climatiques pour lancer leur grande réinitialisation

Les globalistes proposent un “choc financier” et des contrôles climatiques pour lancer leur grande réinitialisation

Par Brandon Smith − Le 14 juillet 2023 − Source Alt-Market 

À la fin du mois de juin, des chefs de gouvernement et des représentants de groupes de réflexion du monde entier se sont réunis à Paris à l’occasion du Sommet pour un nouveau pacte global de financement. Parmi les participants figurent le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, la secrétaire au Trésor américain, Janet Yellen, la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, et le président de la Banque mondiale, Ajay Banga.

L’objectif supposé du sommet est de trouver des solutions financières pour lutter contre la pauvreté tout en réduisant les “émissions qui réchauffent la planète”. Comme pour tous les événements liés au changement climatique, la discussion à Paris s’est inévitablement orientée vers la centralisation internationale du pouvoir et la formation d’un consortium global pour résoudre les problèmes que, selon eux, les nations souveraines ne peuvent ou ne veulent pas résoudre.

Les banques centrales et les banques internationales sont soudain plus préoccupées par la taxation du carbone et le réchauffement climatique que par la stagflation et l’effondrement de l’économie. Probablement parce que c’était l’objectif depuis le début et que l’effondrement économique fait partie du plan.

Les globalistes associent désormais la question du changement climatique à la finance internationale et à l’autorité monétaire. En d’autres termes, ils ne cachent plus le fait que l’agenda du changement climatique fait partie de l’agenda de la “Grande Réinitialisation”. Ils suggèrent même que la menace du changement climatique soit utilisée comme un tremplin pour donner aux banques globales plus de pouvoir pour dicter la circulation des richesses et pour déconstuire le système existant afin qu’il puisse être remplacé par quelque chose d’autre.

Le président français Emmanuel Macron a déclaré aux délégués du sommet de Paris que “le monde a besoin d’un choc financier public” pour lutter contre le réchauffement climatique tout en créant de “l’équité” pour les nations moins riches. Il a également affirmé que le système actuel n’était pas adapté pour relever les défis globaux.

Les intervenants de l’événement ont noté que le cadre économique international avait été mis à mal par un certain nombre de crises, notamment la pandémie et la guerre en Ukraine, mais ils se sont concentrés sur “la spirale du coût des catastrophes météorologiques intensifiées par le réchauffement climatique” pour expliquer la déstabilisation actuelle des systèmes financiers.

C’est évidemment absurde, mais cela correspond à la programmation narrative que les globalistes tentent de mettre en place en liant le déclin économique au changement climatique. En réalité, il n’existe AUCUNE preuve que les phénomènes météorologiques globaux sont plus graves aujourd’hui qu’ils ne l’étaient il y a plus de cent ans, avant que les industries productrices de carbone ne soient largement répandues. Il n’existe aucun lien avéré entre les émissions de carbone et un quelconque phénomène météorologique spécifique. Cette affirmation est une fraude. Il n’y a pas de crise climatique causée par l’homme, comme je l’ai souligné et démontré dans des articles précédents.

Mais combien de personnes se laisseront berner et penseront qu’il y a une crise climatique, et à quelles fins cette peur hystérique peut-elle être exploitée ?

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