Un des “écrans de fumée » dans lequel nous maintient la presse grand public est de nous faire croire que nous vivons dans des « démocraties », tout cela parce que l’on nous laisse voter pour des « hommes politiques » qui ont été sélectionnés par cette même presse.
Un autre préjugé concernant les hommes politiques est qu’ils sont libres d’appliquer le programme pour lequel ils ont été élus. Si tel était le cas, pourquoi donc oublient-ils tous si facilement des promesses qui leur ont bien servis pour attirer les votes mais qu’ils ne peuvent plus respecter une fois élus.
Et si, comme vont nous le montrer les textes ci-dessous, nous vivions en réalité dans une ploutocratie (d’autres disent une oligarchie), c’est-à-dire un régime politique dans lequel ce sont les patrons d’entreprises les plus riches qui décident de la politique, les hommes politiques n’étant que leurs directeurs exécutifs, chargés de l’application de leurs décisions au niveau du pays. Ces directeurs exécutifs étant promus, ou saqués, par l’intermédiaire des médias grand public qui sont tous aux mains des oligarques français. Ce gouvernement de l’ombre est ce que certains analystes appellent l’État Profond.
Nous commencerons notre démonstration par le cas Macron. Un quasi inconnu politique qui, grâce à une campagne médiatique énorme et unanime fut porté à la présidence pendant que les mêmes médias tuaient politiquement le seul candidat qui pouvait l’empêcher d’accéder à la présidence, François Fillon, vainqueur de la primaire à droite.
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Et pour ceux qui douterait encore que la France fasse partie des ploutocraties,
- L’assistance aux riches : « un pognon de dingue » à plus de 300 milliards par an ?
- +300 milliards pour les super riches : le classement qu’ils veulent faire taire !
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Quant aux États-Unis on pourrait dire que c’est une ploutocratie bureaucratique, car c’est une alliance entre grosses entreprises/grand patrons/propriétaires des médias et les services secrets (CIA/FBI/NSA) qui dirige le pays. C’est l’État profond étasunien. Nous verrons dans le chapitre « Trump Vs État profond » le combat que cette alliance a livré contre Trump, un président démocratiquement élu, mais qui n’était pas celui de leur choix. Sacrilège qu’ils lui ont fait payer cher.
Voyons donc de plus près cette façade démocratique cachant un système élitiste.
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- Plutocracy Now !
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- Les élites ne nous sauveront pas
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- Le système est truqué. Épisode 4537 : Game Stop Corp
- Démocratie à la vertueuse sauce américaine
- Comment l’élite pique ses coups de sang : les cas Corbyn et Sanders en sept étapes
- L’ordre libéral international
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- Le parti de la liquette face au répulsif anti-limace* naturel
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- Sans l’admettre, nous sommes déjà convertis au transhumanisme
Des institutions privées se plaçant au-dessus des États.
- Le véritable ordre du jour de la Fondation Gates 1/3
- Le véritable ordre du jour de la Fondation Gates 2/3
- Le véritable ordre du jour de la Fondation Gates 3/3
- Quand Soros achète la Cour européenne des droits de l’homme
- Les colonnes infernales de la défaite civilisationnelle
Mais les systèmes ploutocratiques ne sont pas l’apanage de la France et des États-Unis. On en trouve beaucoup en Asie et en Amérique du Sud, tous les pays déclarés « démocratiques » par les médias grand public. Ceux qui ne sont pas ploutocratiques comme Cuba, le Venezuela, la Chine, la Russie, l’Iran sont par contre déclarés « autoritaires ».
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- En route vers la pauvreté, le Liban est à la croisée des chemins
- En Amérique Latine, le néolibéralisme est en feu
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- La tentative de l’État profond de réprimer la demande d’or en Inde
Le système politico-économique mis en place par les oligarques, et instillé dans la tête des gens par des médias qui servent surtout à laver les cerveaux, est ce que l’on appelle l’ultra (ou néo) libéralisme. Un système où l’entreprise économique cherche soit à se placer au-dessus des États, en corrompant ses fonctionnaires par le système tout à fait légal du pantouflage, soit à l’utiliser en raflant les marchés publics et en le forçant à privatiser tout ce qui peut générer des profits. C’est un système ou l’État est au service du monde des affaires, au détriment de son rôle de protection de la population. D’incessants conflits d’intérêt sont commis au dépend de la nation. D’où les scandales économiques à répétition et l’ère du « privatiser les gains et socialiser les pertes » que nous avons tous vu pendant la crise financière de 2008.
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Et les résultats d’une telle politique néolibérale ne se font pas attendre longtemps.
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Bien sûr cela entraîne un affaiblissement de la fonction régalienne de l’État et de l’idée même de nation.
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Sauver ce système néolibéral qui s’auto détruit reste pourtant le leitmotiv de l’Occident.
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Et puisque l’élite au pouvoir sent qu’elle est en train de perdre sa main mise sur le peuple, alors elle est tentée de recourir au totalitarisme/fascisme pour étouffer toute insurrection possible.
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