En ces temps où le Covid fait apparaître en pleine lumière le mensonge, où des forces peuvent agir dans tous les pays du monde dans un timing parfait, afin de mettre en place restrictions, confinement… où les géants d’internet s’associent aux gouvernements du monde et aux laboratoires pharmaceutiques, afin que la liberté d’expression soit strictement encadrée… où Joe Biden retarde la publication des dossiers d’assassinat de JFK à cause de la pandémie de covid-19…
Voici le discours de John F. Kennedy, donné le 12 novembre 1963 à l’université de Columbia, dix jours avant son assassinat le 22 novembre 1963. Un discours où les mots de JFK prennent vie en ces jours troubles que nous vivons depuis le début de cette pandémie. Ce sont les paroles d’un homme qui a eu le courage d’alerter ses concitoyens en son temps et qui vous avertit, vous, 58 ans plus tard, d’ouvrir les yeux.
« Le simple mot de secret est inacceptable dans une société libre et ouverte. Et nous sommes, en tant que peuple, intrinsèquement et historiquement opposé aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux réunions secrètes. » John F. Kennedy
Discours de John F. Kennedy, à l’université de Columbia, le 12 novembre 1963, 10 jours avant son assassinat.
La question de la survie de notre société fait apparaître deux
nécessités, qui concernent à la fois le président et la presse, deux
gageures qui peuvent sembler contradictoires, mais qui peuvent être
conjuguées et remplies si nous nous groupons face à ce péril national.
Je me réfère ici à l’importance d’informer largement le public et à la
nécessité de refuser la politique officielle du secret.
Le simple mot de secret est inacceptable dans une société libre et
ouverte. Et nous sommes en tant que peuple intrinsèquement et
historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux
réunions secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers de
la dissimulation excessive et injustifiée de faits pertinents dépassent
de loin les dangers que l’on cite pour les justifier. Même aujourd’hui
il est peu justifié de résister à la menace d’une société fermée en
imitant ses restrictions arbitraires. Même aujourd’hui, il est peu
justifié d’assurer la survie de notre nation si nos traditions ne
survivent pas avec elle. Et il y a un danger très grave qu’un besoin
annoncé de sécurité accrue soit l’opportunité que saisiront ceux
soucieux d’étendre sa portée aux limites extrêmes de la dissimulation et
de la censure officielle. Voilà ce que je n’ai pas l’intention de
laisser faire dans la mesure où j’en ai le contrôle. Et aucun officiel
de mon administration, quel que soit son rang, qu’il soit civil ou
militaire, ne devrait interpréter mes paroles ici ce soir comme une
justification pour censurer la presse, étouffer la dissidence, cacher
nos erreurs ou soustraire au public et à la presse les faits qu’ils
méritent de savoir.
Mais je demande à tout publiciste, tout éditeur, tout journaliste dans
ce pays de réexaminer ses propres principes moraux et de reconnaître la
nature du péril qui menace notre pays. En temps de guerre, le
gouvernement et la presse ont traditionnellement mis en commun leurs
efforts reposant largement sur l’autodiscipline, pour empêcher la
divulgation d’informations non-autorisées à l’ennemi. En temps de danger
« clair et présent », les tribunaux ont maintenu que même les droits
privilégiés du premier amendement doivent céder devant le besoin commun
de sécurité nationale.
Aujourd’hui, aucune guerre n’a été déclarée, et aussi féroce le combat
puisse-t-il être, elle pourrait bien ne jamais se déclarer à la façon
habituelle. Notre mode de vie est attaqué. Ceux qui se veulent nos
ennemis progressent partout dans le monde. La survie de nos amis est
menacée. Et pourtant, aucune guerre n’a été déclarée, aucune frontière
n’a été franchie par des troupes en marche, aucun missile n’a été tiré.
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