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mardi 25 septembre 2018

Conférence à Talence : Communications et émergences : une nouvelle science se dessine


tƐg – Talence Conférence

Communications
et émergences :
une nouvelle science
se dessine
Bernard DuguÉ

Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Mines de Saint-Étienne, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie.

Bernard Dugué présentera la nouvelle vision de la nature qui se dessine avec les sciences physiques contemporaines, de la mécanique quantique à la cosmologie, en passant par la biologie et les sciences de la société. Ses recherches ont été publiées en deux parties aux éditions Iste.

Organisation et animation

Bernard Conte
Économiste – Les Afriques dans le monde (LAM) – SciencesPo Bordeaux

Mardi 16 octobre - 20h30
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Talence - auditorium du Forum des Arts et de la Culture
Place Alcala de Henares – À côté de la librairie Georges
Centre ville de Talence
Tramway ligne B – station Forum
Contact : 06 98 52 99 78 - bconte@free.fr 

lundi 10 septembre 2018

Manu Valls plus en Espagne qu'en France


Manu n'est pas très présent à l'Assemblée nationale, il paraît qu'il est en recherche active d'un job en Espagne.
Résumé de son activité à L'Assemblée  :
Source
https://www.nosdeputes.fr/manuel-valls

A lire : Manuel Valls : ce député Français ( 7.000€/mois ) passe tout son temps en Espagne !

Réélu député de la 1re circonscription en juin 2017, l’ex-Premier ministre s’y fait rare, passant de plus en plus de temps à Barcelone.
Mais où est donc passé Manuel Valls ? Lui qui ne ratait jamais la rentrée des classes à Evry a séché cette année. Le député n’a pas davantage mis les pieds aux forums des associations de sa circonscription qu’il ne manquait pourtant pas. Il n’était pas non plus présent lors de la fête de la musique ou au feu d’artifice d’Evry. Des absences inhabituelles, qui font jaser.
« Alerte. Disparition inquiétante. La population de la 1re Circo de #Essonne recherche activement son député @manuelvalls. Personne ne l’a vu dans sa circonscription, ni à l’Assemblée Nationale depuis bientôt 6 mois. Il paraît qu’il rôde près des centres télés et radios ? Help », peut-on lire sur Twitter.
« Il est aux abonnés absent, enfonce Farida Amrani (FI), candidate face à lui aux dernières législatives. Il faut lire Paris-Match pour avoir de ses nouvelles ! Et non seulement il n’est pas présent sur le terrain, mais en plus il siège peu à l’Assemblée. »



Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia

mardi 4 septembre 2018

Belgique-Officiel : coût d’un demandeur d’asile : 4.226,7 euros par mois ; un pensionné : 1176,27 euros

Officiel : coût d’un demandeur d’asile : 4.226,7 euros par mois ; - un pensionné : 1176,27 euros

reblogué de (https://leblogalupus.com/2018/09/01/belgique-officiel-cout-dun-demandeur-dasile-4-2267-euros-par-mois-un-pensionne-117627-euros/)

lepeuple.be août 26, 2018

Le Peuple a souvent comparé les aides ou allocations accordées aux migrants (demandeurs d’asile ou non), soit 2.225 euros par mois, au montant famélique des pensions, dont la moyenne arrive à peine à 1.176,27 euros (voir : Le Peuple avait faux. Selon le ministère de la Justice, le coût moyen d’un demandeur d’asile est de 4.226,7 euros par mois !

Nos chiffres (2.225 euros par mois) se basaient cependant sur un rapport de la Cour des Comptes (https://www.courdescomptes.be/Docs/2017_41_DemandeursdAsile.pdf), daté d’octobre 2017. Cela donne un montant de 27.068 euros par an, alors qu’un pensionné peut compter sur une moyenne de 14.400 euros annuels (y compris, le cas échéant, un pécule de vacances… qui permet de prendre le train en aller simple…).

1.LA COMPARAISON DEMANDEURS D’ASILE/PENSIONNES EST VALABLE. Lorsque nos chiffres et comparaisons furent publiés (et repris, sans citer la source), les Belles
Consciences furent en émoi. Et inventèrent une argumentation destinée à démonter nos arguments.Pures inventions, en effet, car une fois encore, il s’agissait de tordre le cou aux chiffres et leur faire dire le contraire de ce qu’ils démontraient. Et cela, malgré le sérieux des rapports de la Cour des Comptes !
Il en fut ainsi de la part de Mieke Candaele (porte-parole et Fedasil et… ancienne journaliste à TV Brussel, devenu Bruzz – bonjour, l’indépendance journalistique…). (voir : https://www.fedasil.be/fr/propos-de-fedasil/budget). Selon elle, 2.255 euros, « c’est  le coût le plus cher, pas la norme« . Pas de précisions sur le nombre de « coûts les plus chers » et, au passage, signalons que nos chiffres ne sont pas contestés par Fedasil.
Autre critique : la comparaison demandeurs d’asile/pensionnés « ne tient pas », puisque selon Candaele, « il y a beaucoup de pensionnés que de demandeurs d’asile » (repris dans Knackknack.be) – encore heureux !
Pour une comparaison,  en voilà une qui vaut son pesant de naïveté. Meme un expert y va de son laïus : Johan Wets affirme que le part compare des pommes et des poires. « Le montant de la pension aboutit dans portefeuille du pensionné, le montant des coûts d’accueil n’atterrit pas dans celui du demandeur d’asile » (Johan Wets, de la KUL, cité dans https://www..
Et une opinion dans le site DaarDaar (consacré à la traduction de journaux flamands) estime le coût des demandeurs d’asile à « une goutte d’eau dans l’océan des paradis fiscaux » (voir : daardaar.be/rubriques/opinions/cout-de-laccueil-des-demandeurs-dasile-une-goutte-deau-dans-locean-des-paradis-fiscaux/). Un chef d’oeuvre de comparaison entre des pommes et des poires.

2. LA PENSION EST UN DROIT, PAS UNE ALLOCATION. La seule comparaison que journalistes et experts ne citent pas : la pension est un droit ; l’allocation ne l’est pas. Une pension s’obtient après avoir travaillé toute une vie et se calcule d’après le nombre d’année de  cotisation.
Une allocation pour demandeur d’asile est une charité présentée par l’Etat belge à des
personnes qui n’ont jamais cotisé et ne cotiseront jamais, puisqu’il ne leur est jamais demandé de rembourser les faveurs accordées. La même Mieke Candaele le reconnaît sans s’en rendre compte : » (…) l’accueil de ces demandeurs d’asile est évidemment relativement limité dans le temps. (…) la durée de séjour moyenne est de 9 à 12 mois » cité par Knack).En attendant, 2.255 euros se seront volatilisés sans espoir de retour. Et comme par hasard, le coût de l’asile est le plus élevé en Région bruxelloise, socialiste faut-il le rappeler.On y travaille « en partenariat avec un privé », Synergie 14, qui facture 74,16 euros par jour et par demandeur d’asile (chiffres de 2015). Contribuables, à vos poches !

3. LE VRAI CHIFFRE : 140,89 euros par jour. Mais reconnaissons-le : nos chiffres n’étaient pas les bons. Nous avions fait confiance à la Cour des Comptes ; nous aurions dû nous adresser aux acteurs de terrain.
Et à un acteur, qui connaît la vérité des chiffres : le ministère de la Justice. S’il est une comparaison qui tient la route, c’est bien celle entre un détenu et un demandeur d’asile, nécessitant tout autant le coût d’hébergement, de surveillance et d’administration. Et là, le porte-parole du ministère, Olivier Michiels, est formel : « En 2017, globalement 140,89 euros par jour« .
Si nos calculs sont exacts, à raison d’une moyenne de 30 jours par mois, on arrive au total de 4.226,7 euros par mois, soit 50.720,4 à l’année. Certes, le demandeur d’asile ne perçoit pas la totalité de cette somme, mais elle représente nettement plus que la gestion du dossier d’un pensionné.
Ces chiffres extravagants indiquent clairement qu’un changement de politique se révèle indispensable et urgent. Cela implique la politique de migration zéro, de coupes dans les dépenses pour cette migration, dont de l’aveu même des responsables belges, elle est temporaire et n’apporte rien à la Belgique. Cela implique aussi un redéploiement des dépenses et une politique des pensions plus justes et selon la philosophie « nos citoyens d’abord ». Et, par la même occasion, une réflexion sur la politique des prisons : pourquoi ne pas exiger des prisonniers qu’ils paient leur emprisonnement plutôt que de le mettre à charge des citoyens honnêtes ? 
D.K.
Le tableau comparatif des pensions en Europe a été établi selon les informations disponibles sur le site d’Eurostat (ec.europe.eu/eurostat/statistics-explained/index.php/Social_protection_statistics/fr).
http://lepeuple.be/officiel-un-demandeur-dasile-4-2267-euros/92353

 

En France, un million de travailleurs vivent avec moins de 850 euros par mois

4 septembre 2018
Observatoire des inégalités


Un million de travailleurs vivent avec moins de 850 euros par mois. Avoir un emploi ne protège pas de la pauvreté, notamment pour ceux qui travaillent à temps partiel ou alternent des périodes de travail précaire et de chômage.

https://www.inegalites.fr/local/cache-vignettes/L280xH187/arton905-090b0.jpg?1529940903


Un million de personnes exercent un emploi mais disposent d’un niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté, fixé à la moitié du revenu médian (846 euros par mois pour une personne seule en 2015). Si on fixe le seuil de pauvreté à 60 % du niveau de vie médian (1 015 euros en 2015), on en compte deux millions.

La pauvreté des travailleurs évolue peu en France. Elle a légèrement diminué au début des années 2000, puis est remontée pour atteindre 1,1 million de personnes en 2011 au seuil à 50 % du niveau de vie médian. Après une nouvelle baisse au début des années 2010, elle a recommencé à augmenter dans les années récentes. De la même façon, le taux de travailleurs pauvres a oscillé entre 4 et 4,6 % entre 1998 et 2015.

Unité : milliersÉvolution du nombre de travailleurs pauvresPauvreté aux seuils à 50 % et 60 % du revenu médianSeuil à 50 %Seuil à 60 %20002005201020155001 0001 5002 0002 5002015 Seuil à 60 % : 2 006
Actifs occupés. Séries recalculées pour tenir compte des ruptures de série de 2010 et 2012. Le niveau de vie tient compte des prestations sociales, des impôts et des revenus des conjoints.
Source : Insee - © Observatoire des inégalités

      

lundi 3 septembre 2018

Inégalités en France : dorénavant les écarts se creusent

Inégalités en France : dorénavant les écarts se creusent

Par Alexandre Mirlicourtois - Directeur de la conjoncture et de la prévision



http://www.xerficanal-economie.com/emission/Alexandre-Mirlicourtois-Inegalites-en-France-dorenavant-les-ecarts-se-creusent_3746159.html