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lundi 30 septembre 2013

La FED n’a pas bien joué

Olivier Delamarche VS Cyrille Collet : "La FED n’a pas bien joué", Intégrale Placements - 30/09


Le 30 septembre, Olivier Delamarche, associé et gérant de Platinium Gestion et Cyrille Collet, directeur de la gestion actions de CPR AM, parlent de l'impact des risuqes politiques sur les marchés, dans Intégrale Placements au micro de Guillaume Sommerer et Cédric Decoeur, sur BFM Business.
 

 

dimanche 29 septembre 2013

Utopie grecque : Ne vivons plus comme des esclaves !

Film intégral NE VIVONS PLUS COMME DES ESCLAVES
 
 (septembre 2013, durée 89mn)
de Yannis Youlountas
 

Pour améliorer la qualité de l'image, lancez la vidéo, puis cliquez en bas à droite sur le rouage et choisissez 720pHD, avant de mettre en plein écran.Disponible également en version grecque intégrale :
ΝΑ ΜΗΝ ΖΗΣΟΥΜΕ ΣΑΝ ΔΟΥΛΟΙ (GR)
http://youtu.be/neRt6XS05b0
http://nevivonspluscommedesesclaves.n...

Bientôt disponibles, avec le collectif http://www.x-pressed.org :
LET'S NOT LIVE LIKE SLAVES (EN)
LASS UNS NICHT LÄNGER WIE SKLAVEN LEBE (DE)

D'autres langues se préparent (espagnol, russe, bulgare...).
Vous souhaitez proposer une langue ?
Contactez info@x-pressed.org ou
maud@nevivonspluscommedesesclaves.net

NE VIVONS PLUS COMME DES ESCLAVES
Un film de Yannis Youlountas
FR/GR, septembre 2013, durée 89 minutes.
Version cinéma en 16/9, définition 1920x1080p (full HD)
Son mixé en auditorium par Anne Merlieux et Antonin Dalmasso.
Musique : Ta Limania Xena, Cyril Gontier, Serge Utgé-Royo, Jean-François Brient, Χασμωδία, Raoul Vaneigem, Madame Nesia, Martyn Jacques, Μεθυσμένα Ξωτικά, Horror Vacui, Alpha Bang.
Traduction : Lisa, Lucas et Yannis Youlountas.
Coordination : Maud Youlountas avec le soutien du collectif x-pressed pour les autres versions en cours de traductions (anglais, espagnol, russe, bulgare, allemand...).
Site Internet, informatique : Minga, Eric Jousse, Anne Merlieux.
http://nevivonspluscommedesesclaves.net
https://www.facebook.com/NeVivonsPlus...

Internet ne permet qu'une qualité moyenne tant au niveau du son que de l'image, c'est pourquoi nous vous invitons à venir nous retrouver : RIEN NE VAUT LES PROJECTIONS-DÉBATS pour savourer l'ambiance, entrer dans l'image, vivre les situations, apprécier les musiques, assister ou participer aux débats. Prochaines projections-débats :
30/09 à PARIS en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
01/10 à PARIS en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
01/10 ST-DENIS (93) en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
02/10 à LYON en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
03/10 à NÎMES en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
04/10 à DURFORT (81, limitrophe 31 et 11) en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
05/10 à RENNES en présence de Mimi et Vangelis
06/10 à ROUEN en présence de Mimi et Vangelis
07/10 à PARIS en présence de Mimi et Vangelis
(...). Détails :
http://nevivonspluscommedesesclaves.n...

Le bilan comptable du film affiche un déficit de 1715 euros au 25 septembre. La souscription continue pour boucler à l'équilibre cette aventure bénévole. Détails :http://nevivonspluscommedesesclaves.n...
Merci d'avoir rendu ce projet possible.

L'équipe du film, les personnages et les musiciens.

vendredi 27 septembre 2013

60 millions de consommateurs Oct-Nov 2013 - j'y suis cité

Le n° 169 du magazine 60 millions de consommateurs s'intitule
 
"Consommer français".

 

Dans l'article : "Patriotisme et économie : une consommation citoyenne ?", mes propos sont cités, pages 10 et 12.

Exemple de la page 10:

 

 



 

jeudi 26 septembre 2013

Article de Sud-Ouest - 26 septembre 2013

L’homme sans parti pris

par Patrick Faure

 
 
Des états-majors aux sections locales, tous les partis et mouvements politiques s’agitent en vue des élections municipales du mois de mars prochain. La ville de Talence ne fait pas exception à la règle, où le maire Alain Cazabonne (Modem) se représente, probablement à la tête d’une coalition réunissant Modem, UDI, UMP et sans étiquettes.
 
C’est plus confus dans l’opposition : le PS annonce une nouvelle tête de liste, Arnaud Dellu, alors que Monique de Marco, chef de file d’Europe Écologie/Les Verts et vice-présidente de la Région, estime avoir toute légitimité pour mener ladite opposition.
 

mardi 24 septembre 2013

La Nouvelle France Industrielle

Un point de vue dissonant
 
 
La “Nouvelle France Industrielle”, c’est le nom du énième plan de réindustrialisation du pays depuis les années 1980, lancé par François Hollande et Arnaud Montebourg, ministre du “Redressement productif”.

Ce plan, divisé en 34 secteurs qui vont du numérique aux nanotechnologies, en passant par les nouvelles sources d’énergie, vise officiellement la (re)création de 480 000 emplois.

Ce plan est une escroquerie et une ineptie.

1) Certes l’emploi n’a pas d’odeur, et les voix des chômeurs, toujours plus nombreuses, peuvent compter dans les élections à venir. Mais ils ne verront pas la couleur de ces 480 000 emplois. Les secteurs “à forte valeur ajoutée” pour les investisseurs ne sont pas dans l’industrie. On continuera à exporter la production chez les prolétaires du sud, ou à la confier aux robots.
Les secteurs financés par ce plan visent en réalité des gains de productivité, autrement dit la destruction d’emplois.

2) Ce plan est en réalité un plan de développement des hautes technologies pour la mise en place de systèmes de gestion des ressources et des populations, après 150 ans de guerre mondiale au vivant par le technocapitalisme. Cette “Nouvelle France Industrielle” n’est en fait que la version locale de “la troisième révolution industrielle”, et l’application des plans de “planète intelligente” conçus par IBM.

3) La “planète intelligente”, la “troisième révolution industrielle”, ne sont que les pseudonymes du “capitalisme vert”, du “Green New Deal”, des “éco-technologies” ; bref, de tous les nouveaux moyens de la tyrannie technologique pour maîtriser une population planétaire décuplée, face à la pénurie alimentaire et à la destruction du milieu naturel.

La technologie, c’est de la politique. Le fascisme qui vient, c’est celui-là.

« Les limites nécessaires à la préservation de la vie seront calculées et planifiées centralement par des ingénieurs écologistes, et la production programmée d’un milieu de vie optimal sera confiée à des institutions centralisées et à des techniques lourdes. C’est l’option technofasciste sur la voie de laquelle nous sommes déjà plus qu’à moitié engagés. » (André Gorz, Ecologie et liberté, 1977)

Lire : 
La « Nouvelle France Industrielle » : Quand l’Etat organise la « planète intelligente »

samedi 21 septembre 2013

La fin des haricots approche !!!

Edito :
 
«Je vous l’avais bien dit. Le compte à rebours vient de commencer ! »

"Mes chères contrariées, mes chers contrariens !
La grande nouvelle qui est tombée hier soir à plus de 21h00 est évidemment « l’immense surprise » de la décision de la FED, la Banque centrale américaine, qui a décidé finalement et « contre toute attente », prenant tous les marchés à « contre-pied », de poursuivre sa création de fausse monnaie et de continuer à inonder les marchés.
Alors évidemment, je ne résiste pas à vous le dire : je vous l’avais bien dit. C’est facile, certes, mais cela fait toujours plaisir d’avoir raison surtout envers et presque toute la pensée dominante."


vendredi 20 septembre 2013

Le logement : analyses et prévisions (courtes vidéos)

Logement : Ce n'est pas la joie




Loi Duflot : dommages collatéraux et intérêts politiques




Pénurie de logements : on se trompe de débat !




Faire vivre la politique et non pas faire de la politique pour en vivre"...
 

jeudi 19 septembre 2013

La consommation en berne : les perdants et les gagnants



Le pouvoir d'achat continue sa baisse du fait de la stagnation des salaires et de l'augmentation des dépenses contraintes (y compris la fiscalité). Cette baisse se traduit par une évolution de la structure de la consommation... vers le low cost notamment.



 

lundi 16 septembre 2013

Talence : élections municipales 2014… proposition n° 2

Proposition n°2 : Une gestion collective et transparente de la rente foncière


Cette proposition n’est pas « symbolique », il s’agit d’une proposition majeure capable de changer la gouvernance locale qui, bien souvent, est quasi-féodale : une minorité instrumentalise à son profit la rente, principalement foncière, dans le cadre d’un système de type clientéliste.


La rente : un « surprofit » non justifié

La rente est liée à une rareté naturelle (Cf. Ricardo) ou le plus souvent artificielle d’une ressource, c’est-à-dire à une logique de raréfaction de cette ressource, comme dans le cas d’une position de monopole. Par exemple, on parle de rente pétrolière : le coût d’extraction du baril de pétrole varie de quelques dollars en Irak à plusieurs dizaines de dollars  (40$ environ) pour les sables bitumeux. Le prix de vente du baril sur le marché tourne actuellement autour de 100$. Le profit généré par la vente d’un baril de pétrole apparaît différencié selon sa provenance, mais il reste très élevé par rapport aux coûts de production. Ce « surprofit » peut être qualifié de rente. La rente peut émaner de la qualité de la terre agricole avec des rendements différents, de la situation de terrains et/ou d’immeubles « bien placés », de l’existence de minerais, de minéraux, d’énergie, … mais aussi de situations dominantes (électricité, gaz, télécommunications, pharmacie, autoroutes…) qui permettent d’imposer des prix élevés.

La rente repose sur des formes de propriété et de position dominante de type monopolistique qui permettent de créer une rareté et d’imposer des prix plus élevés que ceux justifiés par les coûts de production, et cela grâce notamment à des arrangements institutionnels comme le montre, par exemple, aujourd’hui la politique de renforcement de droits de propriété intellectuels.

En France, « la rente foncière engendrée par l'urbanisation et les effets d'agglomération est, de très loin, la plus importante de toutes les rentes. Elle renchérit de quelques centaines de milliards chaque année le prix du foncier bâti ou bâtissable. Et cela sans que les propriétaires du sol aient fait quoi que ce soit pour mériter cet enrichissement qui tombe du ciel ».

La rente foncière apparaît comme une manne dont la génération et l’appropriation suscitent la mise en œuvre de stratégies spécifiques par différents acteurs incluant la classe politique qui joue un rôle clé.


Quel est le lien entre la rente et la classe politique ?

Les liens entre la classe politique et la rente sont analysés par l’école néolibérale des Choix publics (Public Choice) à travers la théorie de la recherche de rente (rent seeking). « La rente visée par le terme recherche de rente est fortement liée à une régulation politique. Ce qui caractérise la recherche de rente est l’utilisation de moyens d’influence légaux ou illégaux pour pousser un pouvoir politique à prendre des décisions créant ou contribuant à créer ou à maintenir une rente pour des intérêts économiques privés au détriment de l'intérêt général objectif ».

Pour les tenants de l’école des choix publics, les politiques publiques sont l’objet d’un marché sur lequel s’échangent des ressources entre ceux qui orientent l’action publique à différents niveaux (État, Région, département, commune) et ceux qui en attendent des bénéfices. Le personnel politique joue un rôle majeur dans la création et la distribution de la rente dans le cadre d’échange de faveurs de type client – mécène (pour ne pas dire parrain). Les relations client – mécène sont bi-univoques : le mécène peut « aider » le politicien (client) à se faire élire, puis une fois élu, le politicien devient mécène et assure des retours d’ascenseur…


Qu’en est-il au niveau municipal ?

Le lien entre le personnel politique local et la rente foncière se fait principalement à travers le tripotage législatif et réglementaire. Un élu local peut jouer, de différentes manières,  avec les règles d’urbanisme  (PLU) pour générer et distribuer la rente foncière.

Par exemple, il peut classer un terrain non constructible (espace boisé à conserver,…) et une fois acquis par un « client » à bon prix, ledit terrain est reclassé constructible, ce qui dégage une rente (plus-value) importante au profit du « client – mécène ». Ce type de distribution de rente intervient généralement en respectant plus ou moins les apparences réglementaires et sous couvert de mots d’ordre bien pensés : sociaux (un pourcentage de logements sociaux…), écologiques (la nécessaire densification de l’habitat urbain pour réduire les émissions de gaz à effet de serre,  par exemple…), etc.

Par exemple, la densification urbaine, présentée comme souhaitable voire « inéluctable » car elle répond au dogme de la croissance illimitée, constitue un facteur de majoration de la rente foncière.  Ainsi, la métropole bordelaise devrait devenir millionnaire à l’horizon 2030, dans cette optique Talence devrait gagner 7 000 habitants pour atteindre les 50 000 (pour information, Talence est actuellement la ville avec la densité de population la plus importante de la Communauté urbaine de Bordeaux). Le discours sur la densification, relayé par la quasi-totalité des forces politiques, entretient à la hausse les anticipations sur les prix des agents économiques et, par conséquent, leurs anticipations optimistes sur la durabilité de la croissance de la rente foncière.

Un moyen très simple de distribuer de la rente foncière est de vendre les terrains municipaux  au tarif des domaines (sous-évalué) et d’en acheter au prix du marché. C’est ce qui se passe chez nous à Talence.

Les ventes de gré à gré (sans appel d’offres et sans publicité) peuvent aussi être le vecteur de transfert de la rente à la clientèle.

D’autres moyens plus sophistiqués de distribution de la rente existent (cf. par exemple, le « Gaumont au Safran »), mais j’arrête là mon énumération car elle est suffisante pour montrer l’implication de la classe politique locale.

Une nouvelle fois, on va m’accuser de discréditer la classe politique locale et d’entonner le refrain : « tous pourris ! ».  Non, pas du tout ! Dans un Conseil municipal, il y a des « naïfs » qui font leur travail (bien le plus souvent) sans se poser de questions, il y a ceux qui savent mais qui ferment les yeux, ceux (une minorité) qui sont au cœur de la gestion « clientéliste » de la rente et, enfin, ceux qui dénoncent, mais qui ne sont généralement pas entendus car ils appartiennent à l’opposition et leur voix reste sans écho, notamment médiatique.


Pour une gestion collective et transparente de la rente

Selon James Buchanan, chef de file de l’école des choix publics, pour améliorer la qualité de l’action publique, il faut améliorer les règles du jeu et non pas les joueurs. Je ne partage pas totalement cette opinion, car je pense qu’on peut aussi, dans une certaine mesure, améliorer les joueurs, ne serait-ce qu’en les renouvelant régulièrement.

Changer les règles du jeu : on me rétorquera que la modification de la législation n’est pas de la compétence locale. Rien n’empêche, par exemple, que le futur maire s’engage formellement (par un écrit contractuel par exemple) à limiter au maximum ou à supprimer toute vente de gré à gré. Rien n’empêche de concevoir et de mettre en place un processus pour assurer une gestion collective et transparente de la rente foncière dans l’intérêt général. C’est cela la démocratie participative, me semble-t-il ?

Avez-vous d’autres idées ? N’hésitez pas à les formuler !

Faire vivre la politique et non pas faire de la politique pour en vivre"...

mardi 10 septembre 2013

Bordeaux 10 septembre : manifestation contre la réforme des retraites

Il y avait du monde, mais certainement pas assez. Il manquait les TINA, vous vous rappelez feu Margaret Thatcher - there is no alternative - il n'y a pas d'alternative à l'austérité, pour les salariés cela s'entend.





 Faire vivre la politique et non pas faire de la politique pour en vivre"...

samedi 7 septembre 2013

Talence : élections municipales 2014… proposons !!! [1]

Il est intéressant de critiquer, mais proposer est impératif. Dans ce contexte, je souhaite faire et recueillir des propositions pour l’avenir de notre ville. Vous pouvez contribuer, sous forme anonyme ou pas, en soumettant des commentaires sur ce blogue. Bien sûr, lesdits commentaires seront modérés pour éviter toute dérive. 

1ère proposition : Les élus doivent donner l’exemple et il est inconcevable qu’en période de crise économique et sociale certains s’auto-augmentent (se votent des augmentations de salaire) sous prétexte qu’ils travaillent plus et qu’ils doivent gagner plus (Cf. certains Conseils régionaux par exemple). Ce qui pourrait signifier que les « non élus » (les « jacques ») qui ne sont pas augmentés sont, en majorité, des feignasses et ils n’ont que ce qu’ils méritent (je caricature à peine). J’entends déjà quelques professionnels de la politique (la politique doit-elle être une profession ?) taxer mes propos de « populistes », cela devrait suffire à me disqualifier, comme on accuse d’autres de souscrire à la théorie du complot. Dans ce cas, nul besoin d’argumenter pour les accusateurs. Personnellement, je crois que les symboles sont importants.

Ainsi, pour la nouvelle mandature 2014 – 2020, je propose que les indemnités des élus municipaux soient réduites : de 20% pour le Maire et de 10% pour les autres membres du Conseil municipal.
La dernière
grille indemnitaire du Conseil municipal de Talence date du 14 mai 2013. Selon cette grille, le montant global des indemnités est de 28 863€ par mois, c’est-à-dire 346 356€ par an et 2 078 136€ pour l’ensemble de la mandature (6 ans). Pour information, l’indemnité mensuelle du Maire s’élève à 4 276€.

Si la mesure de réduction des indemnités est appliquée, l’économie réalisée sera de 3 314€ par mois (2,3 SMIC mensuels), 39 767€ par an (27,8 SMIC mensuels) et 238 601€ sur la mandature (166,8 SMIC mensuels).
On constate qu’il s’agit, malgré tout, d’une symbolique « forte ». Dans la même optique, il faudra s’intéresser aux jetons de présence perçus par nos élus municipaux dans d’autres structures et institutions…
 Faire vivre la politique et non pas faire de la politique pour en vivre"...
 

jeudi 5 septembre 2013

Conseil municipal du 9 septembre 2013

CONSEIL MUNICIPAL DU 9 SEPTEMBRE 2013

Ordre du jour

RAPPORTEUR : M. LE MAIRE
1 – Approbation PV séance du 8 juillet 2013
2 - Décisions municipales – Information du Conseil
3 - Acquisition d’un local commercial sis place Paul Gauguin BH 210
4 - Sinistre du 3 mai 2012 – Ecole Joliot Curie 42, chemin de Suzon – Acceptation de l’indemnité d’assurance
5 - Sinistre du 2 décembre 2010 - Crèche Municipale Avenue Paul Bert – Acceptation de l’indemnité d’assurance

RAPPORTEUR : M.VILLEGA-ARINO – Adjoint délégué à la Culture
6 - Médiathèques et Bibliothèques de la Ville de Talence : autorisation de désaffectation et vente de documents, fixation des prix et adoption du règlement de la vente

RAPPORTEUR : M. GELLE – Adjoint délégué aux Aménagements Urbains - au Patrimoine – aux Déplacements - au Développement Durable
7 - Construction d'un ensemble immobilier 1 rue Pierre Noailles parcelle cadastrée AL7 208 - Convention de transfert des voies et espaces communs à l'achèvement des travaux
8 - Expérimentation de garages à vélos sécurisés 44 rue Émile Zola - Signature des conventions avec les candidats
9 - Fonds de concours de la Communauté Urbaine de Bordeaux – contrat de codéveloppement 2012-2014 - Action 18 – Aménagements paysagers
10 - Fonds de concours de la Communauté Urbaine de Bordeaux – contrat de codéveloppement 2012-2014 - Action 19 – Aménagements paysagers
11 - Cession d'une parcelle de terrain située 24 rue Bayard cadastrée AX 494p

RAPPORTEUR : Mme SALLET – Adjointe déléguée à la Citoyenneté
12 - Convention de partenariat entre la Ville de Talence et «Voiture & Co» pour la mise en place d'une plate forme de mobilité dans le cadre des permanences de la Maison des Droits de l'Homme et du Citoyen pour l'année 2013 RAPPORTEUR :

Mme IRIART – Adjointe déléguée aux Solidarités à l'Action Sociale et à l'Emploi
13 - Convention de partenariat entre la Ville de Talence et l'association Unis Cité en vue d'assurer la poursuite pour l'année 2013/2014 du projet «visites de convivialité» auprès des personnes âgées

RAPPORTEUR : M. PARANTEAU – Adjoint délégué à la Jeunesse et aux Sports
14 - Subvention exceptionnelle au CREPS

RAPPORTEUR : M. JESTIN – Adjoint délégué à l'Urbanisme
15 - Autorisation de dépôt d’un permis de démolir parcelle sise 30 rue Armand Leroi cadastrée AO 593
16 - Autorisation de dépôt d’une déclaration préalable pour l'aménagement d'un cabinet dentaire dans un local municipal Place Gauguin

RAPPORTEUR : M. CASTEX – Adjoint délégué aux Finances – aux Achats et Marché Publics
17 - Taxe sur la consommation finale d’électricité – Actualisation du coefficient multiplicateur
18 - Attribution de subventions
19 - Attribution d’une indemnité de conseil à Madame Patricia DURUT, Trésorier Principal, Receveur Municipal

RAPPORTEUR : Monsieur BONNIN - Conseiller Municipal délégué au Suivi des chantiers et travaux
20 - Participation pour Voirie et Réseau rue de Trémeuge (entre le cours de la Libération et la rue de Mégret) et rue de Mégret (entre le 50 et le 68)

"Faire vivre la politique et non pas faire de la politique pour en vivre"... 

lundi 2 septembre 2013

Campagne électorale en vue

Bientôt une nouvelle campagne électorale.

 Le personnel politique sortant, de quel bord qu'il se réclame, va nous rebattre les oreilles de : "voyez ce que j'ai fait pour votre ville", "voyez ce que j'ai fait pour vos loisirs", "voyez ce que j'ai fait pour vos fêtes", "voyez ce que j'ai fait pour l'honneur de votre ville", "voyez ce que j'ai fait pour votre culture"... comme si toutes ces dépenses étaient financées sur la cassette personnelle des élus.

 Rien de nouveau... 

En effet, lisons La Boétie :

"Ne croyez pas qu’il y ait nul oiseau qui se prenne mieux à la pipée, ni aucun poisson qui, pour la friandise, morde plus tôt et s’accroche plus vite à l’hameçon, que tous ces peuples qui se laissent promptement allécher et conduire à la servitude, pour la moindre douceur qu’on leur débite ou qu’on leur fasse goûter.

C’est vraiment chose merveilleuse qu’ils se laissent aller si promptement, pour peu qu’on les chatouille. Les théâtres, les jeux, les farces, les spectacles, les gladiateurs, les bêtes curieuses, les médailles, les tableaux et autres drogues de cette espèces étaient pour les peuples anciens les appâts de la servitude, la compensation de leur liberté ravie, les instruments de la tyrannie

Ce système, cette pratique, ces alléchements étaient les moyens qu’employaient les anciens tyrans pour endormir leurs sujets dans la servitude. Ainsi, les peuples abrutis, trouvant beau tous ces passe-temps, amusés d’un vain plaisir qui les éblouissait, s’habituaient à servir aussi niaisement mais plus mal encore
que les petits enfants n’apprennent à lire avec des images enluminées.

 Les tyrans romains renchérirent encore sur ces moyens, en festoyant souvent les hommes des décuries en gorgeant ces gens abrutis et les flattant par où ils étaient plus faciles à prendre, le plaisir de la bouche. Aussi le plus instruit d’entre eux n’eût pas quitté son écuelle de soupe pour recouvrer la liberté de la république de Platon. Les tyrans faisaient ample largesse du quart de blé, du septier de vin, du sesterce et alors c’était vraiment pitié d’entendre crier vive le roi !

Les lourdauds ne s’apercevaient pas qu’en recevant toutes ces choses, ils ne faisaient que recouvrer une part de leur propre bien ; et que cette portion même qu’ils en recouvraient, le tyran n’aurait pu la leur donner, si, auparavant, il ne l’eût enlevée à eux-mêmes. Tel ramassait aujourd’hui le sesterce, tel se gorgeait, au festin public, en bénissant et Tibère et Néron de leur libéralité qui, le lendemain, était contraint d’abandonner ses biens à l’avarice, ses enfants à la luxure, son rang même à la cruauté de ces magnifiques empereurs, ne disait mot, pas plus qu’une pierre et ne se remuait pas plus qu’une souche."
 
Quelque chose a-t-il changé depuis les anciens tyrans ????
 
 
Néron

dimanche 1 septembre 2013

Mon Diaw ! Sainte Marie !!

En 2010, j’ai déjà signalé sur ce blogue certains « dysfonctionnements » de la passerelle Sainte Marie et de l’Espace Boris Diaw.

Vendredi 30 août, dans la soirée, comme très souvent, j’ai emprunté à vélo la passerelle Sainte Marie. Je suis très prudent car par deux fois, j’ai manqué d’être heurté par des scoots (comme disent les jeunes) ou des pétrolettes comme je me plais à le dire. La première fois, il s’agissait d’un « jeune » et la seconde d’une pétrolette « commerciale », de livraison « sans souci ». Il est vrai que les entrées de la passerelle se caractérisent par un virage serré sans visibilité. Depuis ces incidents, je mets pied-à-terre et je me rapproche très fortement de la droite (oui, je sais !).



Ce vendredi là, j’ai été étonné de voir un mur de « l’E….. Sportif Boris Diaw », le "space" étant tombé, fortement dégradé (voir photo).
 
 
Outre les tags, un mur extérieur a été notamment percé d’une multitude de trous, et ce, à différentes hauteurs… Je me suis demandé avec quels instruments ces trous avaient été réalisés : perceuse, clous (gros), piolets (il y a un mur d’escalade à l’intérieur de l’e – space), kalachsmirnoff ? Et dans quel but ? Esthétique ? Sportif ?


Au dessus dudit mur, une vitre est brisée.



De plus, j’ai noté que les foins n’avaient pas encore été faits devant l’e-space, il est vrai que la saison est en retard cette année…




 
Je pense que tout ceci va rentrer dans l’ordre avec la rentrée des classes, le retour de congés et la proximité des élections municipales…
 
 
"Faire vivre la politique et non pas faire de la politique pour en vivre"...