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samedi 25 décembre 2021

Annonce, à venir : Ajustement Sociétal : grandeur et décadence de la classe moyenne

Ajustement Sociétal : grandeur et décadence de la classe moyenne

à paraitre sous peu, voici l'introduction:

 Le développement d’une classe moyenne nombreuse au Nord apparaît caractéristique de la période des Trente glorieuses et son émergence au Sud coïncide avec la phase développementaliste.

 L’apparition et la densification de la classe moyenne sont des éléments majeurs de l’ajustement structurel fordiste. Le système dans sa version du capitalisme industriel va engendrer un façonnage sociétal permettant à la fois l’expansion géographique et l’intensification du capitalisme.

 Pour paraphraser Max Weber, il s’agit de diffuser le plus largement et le plus rapidement possible « l’esprit du capitalisme » par le biais de la séduction et de la subornation. Pour ce faire, le niveau de consommation de biens et services (consommation de masse) doit être augmenté grâce à la redistribution des gains de productivité (production de masse) et à l’action d’un État « bienveillant ».

 Le rôle de l’État apparaît déterminant si bien que certains qualifient cette période de « capitalisme régulé » inspiré par Keynes. Ainsi, l’État canaliserait le capitalisme pour en éviter les travers les plus importants. Au contraire, je pense que l’État est en permanence au service du système et les phases fordiste et développementaliste  n’échappent pas à la règle. Ceci en contradiction avec la pensée dominante qui présente ces périodes comme des victoires des opprimés sur les nantis.

 Dans ce contexte, l’État inscrirait son intervention dans le cadre de l’ajustement structurel fordiste (ou fordiste-périphérique) voulu par le système. L’État-providence au Nord et l’État développementaliste au Sud seraient les artisans façonnant les structures sociétales selon les plans déterminés par le système de domination, d’exploitation et de contrôle.

 Au cours de cette phase, la classe moyenne apparaît comme un paramètre majeur du changement structurel et de l’évolution du capitalisme. Son développement est soutenu par l’État-providence au Nord et l’État nationaliste-clientéliste au Sud.

 La crise du fordisme et du développementalisme sera l’occasion d’un changement de version du système d’exploitation pour laquelle la classe moyenne devient inutile et même coûteuse car elle obère les possibilités de profit. En conséquence, grâce à l’État devenu malveillant, l’euthanasie progressive de la classe moyenne s’imposera. Ainsi, le bâton succèdera-t-il à la carotte.

La suite pour très bientôt !!!

mardi 21 décembre 2021

La Marée verte et ses épaves : 1- Les ennemis de la Nature

 La Marée verte et ses épaves 

1- Les ennemis de la Nature

lundi 13 décembre 2021 par Marius Blouin

Toujours en librairie : Le Règne machinal (la crise sanitaire et au-delà). Voir ici

A l’automne 2019, on nous pose la question suivante : « Que pensez-vous du scénario de l’effondrement promu par les "collapsologues", qui a le vent en poupe en ce moment ? »
On s’attelle à la réponse, parmi d’autres écrits et activités en cours. Cette réponse prolifère en multiples rappels et remarques ayant trait à la montée massive et multiforme de la conscience et de la contestation naturiennes ; et à la montée en conséquence de toutes sortes d’épaves politiques et intellectuelles, se flattant d’avoir soulevé cette crue, s’étalant dessus et tâchant de la dévoyer ou de la renverser à leurs fins propres.
 

L’arrivée du Virus, en février 2020, interrompt cet élan, pour nous lancer dans d’autres quêtes.


Un an plus tard, nous poursuivons cette réponse alors que les dévoiements et les inversions se multiplient et s’amplifient de toutes parts rendant plus que nécessaire le rappel des faits historiques. C’est que toutes les « crises » convergent vers une crise principale, qui est celle de la société industrielle, obligeant les faux amis et les vrais ennemis de l’écologie radicale à occuper d’urgence cet immense champ de manœuvres, afin d’y maintenir leur hégémonie et de récupérer, ou de chasser, les révolutionnaires de notre temps : naturiens , luddites , briseurs de machines, anti-industriels et décroissants ; défenseurs des vivants politiques dans un monde vivant. 


Tantôt les ennemis de la Nature tentent de nous faire prendre le drapeau rouge, arc-en-ciel ou violet, pour le vert ; tantôt ils agitent le drapeau vert pour combattre la nature et ses défenseurs. « L’écologie n’appartient à personne ! » proclament ces post et néo-écologistes de la vingt-cinquième heure. C’est pour eux une terra nullius, comme l’Amérique autrefois et la Lune aujourd’hui. Moyennant quoi, ils viennent chacun s’en approprier autant qu’ils peuvent, quitte à en éliminer les Sélénites et Amérindiens. Après tout, ces derniers sont également des colons ayant traversé le détroit de Béring voici 40 000 ans.

(...)

Pour lire le texte intégral, ouvrir le document ci-dessous.


jeudi 9 décembre 2021

Démasquer les critiques internes instrumentalisées par le système

Naomi Klein, l'altercapitalisme et l'opposition subventionnée

par Nicolas Casaux 

Note : en 2011, j'avais écrit : Démasquer les Insiders!

 Naomi Klein est une grande célébrité dans le milieu « altermondialiste » — composé de ceux qui, au lieu d’envisager une alternative à la mondialisation, croient ou espèrent qu’une mondialisation alternative est possible, une autre civilisation techno-industrielle mondialisée, un autre système économique global (un autre capitalisme) : démocratique et bio.

Jusqu’à tout récemment, et depuis 2011, Klein siégeait au conseil d’administration de l’ONG 350.org, une ONG internationale créée de toutes pièces grâce à l’argent des Rockefeller, qui constituent une des plus célèbres familles de « philanthropes », et plus précisément grâce à l’argent du Rockefeller Brothers Fund[1]. Son financement dépend aujourd’hui majoritairement de fondations privées[2], dont la Schmidt Family Foundation (fondation privée créée en 2006 par Eric Schmidt, président exécutif de Google, et son épouse Wendy Schmidt), la ClimateWorks Foundation, une fondation qui regroupe, entre autres, la David and Lucile Packard Foundation, la William and Flora Hewlett Foundation (HP, ça vous dit quelque chose ? Hewlett-Packard, une des principales multinationales de l’informatique) et la Ford Foundation (Ford, tout le monde connaît) ; le Clowes Fund, Inc., lié à la Eli Lilly and Company, une immense multinationale de l’industrie pharmaceutique (le Prozac, c’est elle), 10e groupe pharmaceutique mondial par son chiffre d’affaires ; la Silicon Valley Community Foundation, dont les membres du conseil d’administration travaillent chez Microsoft, eBay, Electronic Arts, etc. ; le New Venture Fund, une fondation financée, entre autres, par la Rockefeller Foundation, par la fondation de Bill & Melinda Gates, par la Ikea Foundation, etc. ; la Overbrook Foundation, créée et encore dirigée par la famille Altschul, dont l’actuel président, Arthur Altschul Jr., a travaillé, comme son père avant lui, pour Goldman Sachs, et pour un paquet de multinationales américaines dans le secteur de l’industrie pharmaceutique, de la banque, etc. ; la Tides Foundation, qui reçoit de l’argent de Warren Buffett, un des hommes les plus riches du monde, qui possède des investissements dans à peu près toutes les industries du monde, et aussi de George Soros, un autre milliardaire américain ; et de bien d’autres fondations liées à bien d’autres industries et à bien d’autres magnats de la finance.

Bref, 350 fait partie de ces ONG financées par des gros sous, étatiques ou entrepreneuriaux. Un large pan de l’altermondialisme dépend d’ailleurs de ces mêmes gros sous. Pourquoi ne pas financer une opposition aussi inoffensive ? C’est du pain béni. Ils se contentent de réclamer des injustices un peu moins injustes (« réduire les écarts de salaire », « rehausser le SMIC », « Restaurer et moderniser l’ISF », « Imposer les multinationales », etc.), une servitude totale (« un emploi pour toutes et tous[3] », des « emplois verts », etc.), ils sont rigoureusement non-violents… non, vraiment, c’est excellent.


Début 2019, Naomi Klein s’est entretenue avec Stephen Heinz, « le président visionnaire du Rockefeller Brothers Fund », qui finance l’ONG de Klein (350). Lors de leur échange cordial, amical (entre patron et employée), intitulé « Dialogue sur la démocratie et la capitalisme[4] », Heinz a entre autres affirmé : « Nous pouvons être à la fois de bons gestionnaires du capital et aussi de ce que les dollars font. » Klein a fait remarquer que la philanthropie, dans certains cas, entrave le changement en sous-finançant les organisations qui remettent en cause les systèmes économiques dominants. « Ce n’est pas que la philanthropie n’a pas de rôle à jouer », a‑t-elle déclaré, « mais comment les subventions peuvent-elles encourager plus de démocratie et d’équité ? Comment financer les personnes qui réclament un changement systémique plutôt que celles qui pratiquent l’incrémentalisme ? »

Car bien entendu, les plaidoyers en faveur du « changement systémique » que Klein appelle de ses vœux, qui consiste en des inégalités moins inégales, des injustices moins injustes, des emplois pour toutes et tous et plus verts (quel incroyable changement systémique), ont besoin d’être hautement financés par le capital !

Heinz a également noté que les défauts du capitalisme avaient été mentionnés lors du forum de Davos de cette année. « Les gens reconnaissent qu’il y a quelque chose de fondamentalement défectueux dans la façon dont le capitalisme est pratiqué aujourd’hui », a‑t-il dit. « C’est une grande opportunité. Les gens reconnaissent que les choses ne vont pas et que nous devons travailler ensemble de manière démocratique pour un avenir meilleur. » Il a également affirmé : « Je ne suggère certainement pas que nous devrions nous débarrasser du système du marché lui-même — ni du système de l’État-nation ou de la démocratie, d’ailleurs. Ce que je pense qu’il faut rejeter, c’est l’interprétation néolibérale du système du marché. » Il s’agit en effet, selon Heinz, de « changer la pratique du capitalisme lui-même ». Bref, un autre capitalisme est possible, vert et qui nous exploite (emploie) tous, et nous rétribue un peu moins mal.

Si toi aussi tu veux militer pour ça, tu pourras peut-être obtenir une subvention des Rockefeller, ou de l’AFD ou de France Télévisions pour réaliser un documentaire super enthousiasmant (comme Cyril Dion). N’hésite pas à leur envoyer ton CV.

Ci-dessus, Naomi Klein prend la pose, pour la promotion de son livre This Changes Everything (paru en français sous le titre Tout peut changer), avec Angel Gurria, ministre des affaires étrangères du Mexique de décembre 1994 à janvier 1998, puis ministre des finances de janvier 1998 à décembre 2000, ennemi de longue date des zapatistes et actuel Secrétaire général de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). (Il y a quelques années, Klein était prise en photo aux côtés du sous-commandant Marcos. Aujourd’hui, c’est aux côtés de son ennemi juré. Voilà un « changement systémique ».)



Ci-dessus, Naomi Klein prend la pose, pour la promotion de son livre This Changes Everything (paru en français sous le titre Tout peut changer), avec Angel Gurria, ministre des affaires étrangères du Mexique de décembre 1994 à janvier 1998, puis ministre des finances de janvier 1998 à décembre 2000, ennemi de longue date des zapatistes et actuel Secrétaire général de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). (Il y a quelques années, Klein était prise en photo aux côtés du sous-commandant Marcos. Aujourd’hui, c’est aux côtés de son ennemi juré. Voilà un « changement systémique ».)

Ci-dessus, Susan Rockefeller prend la pose, toujours pour la promotion du livre This Changes Everything de Klein. En 2015, Avi Lewis, le mari de Naomi Klein, a réalisé un film documentaire pour aller avec ce livre de Klein, également intitulé This Changes Everything. Documentaire qui a entre autres compté, parmi ses producteurs et coproducteurs exécutifs : Pamela Anderson, Danni Glover et Susan Rockefeller. Documentaire qui a également été financé grâce à d’importantes donations de la part de la Schmidt Family Foundation [fondation privée créée en 2006 par Eric Schmidt, président exécutif de Google, et son épouse Wendy Schmidt], de la Fondation Ford, du Rockefeller Brothers Fund, etc.[5]

Naomi Klein travaille, par ailleurs, pour un media numérique appelé The Intercept, et financé par First Look Media, une compagnie de presse numérique états-unienne créée par le milliardaire Pierre Omidyar, fondateur d’eBay et « philanthrope » majeur. Si The Intercept publie régulièrement des articles à charge contre le gouvernement états-unien, de justes dénonciations de divers scandales, il s’agit au bout du compte d’un média relativement classique, promouvant les idées usuelles de la gauche ordinaire. (Un meilleur technocapitalisme est possible. En élisant les bons chefs, en réduisant un peu les injustices, en développant massivement les énergies renouvelables et en écartant les énergies fossiles, nous pourrions parvenir au meilleur des mondes.)

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Naomi Klein travaille, par ailleurs, pour un media numérique appelé The Intercept, et financé par First Look Media, une compagnie de presse numérique états-unienne créée par le milliardaire Pierre Omidyar, fondateur d’eBay et « philanthrope » majeur. Si The Intercept publie régulièrement des articles à charge contre le gouvernement états-unien, de justes dénonciations de divers scandales, il s’agit au bout du compte d’un média relativement classique, promouvant les idées usuelles de la gauche ordinaire. (Un meilleur technocapitalisme est possible. En élisant les bons chefs, en réduisant un peu les injustices, en développant massivement les énergies renouvelables et en écartant les énergies fossiles, nous pourrions parvenir au meilleur des mondes.)
Naomi Klein travaille, par ailleurs, pour un media numérique appelé The Intercept, et financé par First Look Media, une compagnie de presse numérique états-unienne créée par le milliardaire Pierre Omidyar, fondateur d’eBay et « philanthrope » majeur. Si The Intercept publie régulièrement des articles à charge contre le gouvernement états-unien, de justes dénonciations de divers scandales, il s’agit au bout du compte d’un média relativement classique, promouvant les idées usuelles de la gauche ordinaire. (Un meilleur technocapitalisme est possible. En élisant les bons chefs, en réduisant un peu les injustices, en développant massivement les énergies renouvelables et en écartant les énergies fossiles, nous pourrions parvenir au meilleur des mondes.)

vendredi 26 novembre 2021

Ah ! Les sondages. Quelle cuisine, l'art d'accomoder !

 

On avait déjà exposé le 3 juillet l'extrême rapidité de travail de la micro-entreprise de sondages politiquement orientés Odoxa (http://stratediplo.blogspot.com/2021/07/encore-un-pianiste-dans-un-bordel.html), capable de trouver en une nuit, avec force exposés graphiques et statistiques, une justification "démocratique" à une quasi-décision gouvernementale annoncée quelques heures plus tôt.
 
L'exploit amenait presque à se demander si cet argumentaire travaillé aux mots soigneusement pesés, en dépit d'un aveu de partialité dans les commentaires du chef de cette jeune micro-entreprise, ne ressemblait pas plus au résultat de plusieurs mois de conception d'une campagne de réclame institutionnelle commandée sur cahier des charges et appel d'offres, qu'au résultat de quelques heures de mise en forme précipitée des résultats d'un interrogatoire téléphonique rapidement improvisé la veille en réaction à la déclaration gouvernementale du jour. On évoquait même son concept particulier (ouvertement assumé) de choisir des sondables aux opinions tranchées sur le sujet étudié plutôt que de devoir traiter avec des pourcentages de "sans opinion" et de demi-teintes, et ses méthodes révolutionnaires décriées dans la profession du sondage d'opinion.
 
Ce pianiste de bordel, pour reprendre l'image popularisée par Jacques Séguéla, vient de se surpasser en publiant hier 24 novembre les résultats d'un sondage qu'elle dit avoir effectué les 24 et 25, c'est-à-dire dont la synthèse ne pouvait être faite qu'aujourd'hui au plus tôt. La presse française du soir fait déjà ses gros titres sur ce sondage "des 24 et 25 novembre" sur les mêmes 1005 personnes "représentatives" aux opinions très tranchées sur l'imposition de la génoprophylaxie, qui conforte à point nommé les décisions juste annoncées, ou sur le point de l'être, par la dictature (au sens d'exécutif doté exceptionnellement des pleins pouvoirs pour la durée de la crise). Mais l'institut artisanal de sondage ultra-réactif a publié résultats et synthèse, sur son site internet, dès hier 24 novembre (les incrédules voudront bien vérifier rapidement avant que ce ne soit corrigé), en avance sur l'envoi de son communiqué aux agences de presse.
 
On ne va pas livrer ici le sujet et les détails dudit sondage, qui n'est pas pertinent dans une démocratie où la politique est censée être décidée en parlement élu, ni ouvrir là le débat sur les limites acceptables de la démocratie, à savoir si une majorité peut imposer ses choix aux minorités, jusque dans leurs chairs. Car pour mémoire, si les opposants à l'imposition des injections génoprophylactiques expérimentales n'entendent cependant pas interdire ces injections aux volontaires (en dépit des risques de stimulation et diffusion de mutations virales), par contre les partisans de la mithridatisation généralisée, eux, du moins d'après la presse et les politiciens, entendent fermement imposer ces injections aux autres citoyens.
 
L'objet de cet article est seulement d'attirer l'attention sur les méthodes de cette micro-officine, collaboratrice (emblématique mais certainement pas unique) d'une campagne de conviction gouvernementale à but coercitif.
Publié il y a par
 

 

dimanche 14 novembre 2021

La France finance la Chine avec l'argent des contribuables français

[Édito] … et le sourire de la crémière : la Chine reçoit des centaines de millions d’euros « d’aide » par la France

Epoch Times

Les débats à l’Assemblée Nationale sur le projet de loi de finances 2022 ont fait ressortir ces dernières semaines une pépite de la taille d’un boulet : sous prétexte d’aide au développement, la France verse encore chaque année des centaines de millions d’euros d’argent public au régime chinois. Le breton Marc Le Fur, député LR des Côtes d’Armor et rapporteur spécial de la commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire, a mis les pieds dans le plat, devant le ministre des Affaires Étrangères Jean-Yves Le Drian, pour critiquer « la naïveté dont nous faisons bien souvent preuve. »

Le député rappelle la règle dite des aides déliées à laquelle s’astreint la France : « Quand nous aidons un État, nous ne pouvons pas exiger que cela bénéficie à nos entreprises. Cette règle a été élaborée au début des années 2000, à l’époque du doux commerce et de la concurrence qui devait être idéale. Tout ça est bien loin : nous sommes désormais dans un monde concurrentiel. Nous sommes en particulier concurrencés dans l’aide publique au développement par des pays qui ne respectent pas la règle des aides déliées : la Chine ou la Russie, par exemple. »

Le système des aides déliées signifie que l’argent versé par la France à des pays en voie de développement ne peut être mobilisé par l’intermédiaire d’entreprises françaises opérant dans ses pays. L’argent français paie donc des entreprises étrangères, souvent concurrentes de nos entreprises nationales. Dans son rapport, Marc Le Fur rappelle que « la France préfère conserver intacte la souveraineté économique et financière des pays bénéficiaires de l’aide française. Le développement mené par la Chine a au contraire souvent pour conséquence de créer un endettement difficilement contrôlable pour les pays. »

La Chine, quand elle « aide » les pays en développement, le fait effectivement en contraignant ceux-ci à mobiliser exclusivement des entreprises chinoises. Parallèlement, elle mobilise l’argent généreusement offert par le gouvernement français (plus de 370 millions d’euros rien que sur la période 2018-2020 !) pour subventionner ses propres entreprises. C’est par ce type de précieux soutien que Huawei peut ensuite proposer des antennes 5G à des prix imbattables et ainsi capter le marché de la donnée mobile en Europe… tout cela au bénéfice des services de renseignement chinois. Des dizaines de millions d’euros supplémentaires sont consacrés à l’achat des vaccins anti-Covid chinois, dont la France ne veut pas, mais qu’elle fournit par contre aux pays africains.

Le rapport de Marc Le Fur déplore ainsi « une limite persistante de l’aide française, qui comprend encore trop peu de crédits à destination des pays prioritaires, tandis que la Chine, en passe de devenir la première puissance économique mondiale, reste un pays bénéficiaire de l’aide au développement. En 2020, la Chine est le neuvième principal bénéficiaire de l’APD bilatérale ». C’est-à-dire loin devant le Mali, le Liban et bien d’autres pays à qui cette aide permettrait de développer agriculture, infrastructures pour garantir la subsistance de leurs citoyens… et éviter qu’ils souhaitent risquer leur vie en tentant de rejoindre la France illégalement.

Nos impôts subventionnent donc la plus grande dictature au monde, alors même qu’elle est proche d’être la première puissance mondiale, mobilise tous ses efforts pour ruiner notre économie et notre société, et développe un programme militaire agressif qui fait craindre un conflit d’ampleur mondiale. Ces ressources qui devraient être mobilisées pour le bien direct – ou indirect – des Français le sont à leur détriment aussi bien à court qu’à moyen terme. Un collègue parlementaire, visiblement remué par l’intervention de Marc Le Fur, crie dans l’hémicycle « Copinage, copinage ! » On ne trouve plus de moyen pour penser différemment.

 Source

 


Kobide

 


 

Malthus plus que jamais d'actualité : Maintenant, le démantèlement organisé de l’approvisionnement mondial en engrais ?

 par F. William Engdahl. Réseau International

Les pénuries mondiales d’énergie qui ont fait exploser les prix du charbon, du pétrole et du gaz naturel au cours des derniers mois sont une conséquence prévisible de la folle poursuite de politiques économiques « zéro carbone » qui ont vu des gouvernements insensés subventionner une part croissante de l’électricité produite par des centrales solaires et éoliennes peu fiables. L’une des conséquences a été la multiplication par cinq du prix du gaz naturel ou du méthane dans le monde entier. Cela va de la Chine à l’UE, aux États-Unis et au-delà. Cette pénurie de gaz naturel et l’explosion de son prix ont eu pour conséquence une crise croissante de la production d’engrais pour l’agriculture mondiale. Tout ceci n’est peut-être pas un accident. Il s’inscrit dans l’agenda de la Grande Réinitialisation de l’ONU 2030 du Forum économique mondial.

Les engrais à base d’ammoniac fabriqués à partir d’azote (la plus grande partie de notre air, donc jamais en pénurie) et de gaz naturel ou de méthane (CH4) représentent près de 70% de tous les engrais utilisés pour soutenir les principales cultures agricoles telles que le blé, le maïs, le riz et même le café. La flambée des prix du gaz naturel, de 300 à 500% au cours des derniers mois, a eu un effet dévastateur sur la production mondiale d’engrais, dont 80% du coût de fabrication des engrais ammoniacaux est imputable au gaz naturel.

Lorsque l’ouragan Ida a traversé la Louisiane le 25 août, le plus grand complexe d’usines d’ammoniac du monde, appartenant à CF Industries, a été fermé pour des raisons de sécurité et n’a rouvert que dix jours plus tard. Curieusement, à ce moment-là, deux autres usines de la même CF Industries, celles du Royaume-Uni, ont annoncé qu’elles fermeraient deux autres usines d’engrais le 22 septembre, en invoquant le prix élevé du gaz naturel comme cause, alors que leur usine de Louisiane venait d’être fermée pendant dix jours. Ces deux usines fournissent environ deux tiers de la demande intérieure d’engrais au Royaume-Uni. Le gouvernement a été contraint d’accorder des subventions d’urgence à CF Industries pour rouvrir temporairement l’une des deux usines afin d’atténuer les pressions. L’effet combiné de ces trois fermetures majeures par le même groupe a aggravé la crise de l’approvisionnement mondial en engrais. Ce n’est peut-être qu’une coïncidence si les deux plus grands actionnaires de CF Industries sont Vanguard et BlackRock.

Cette crise fait boule de neige. Début octobre, des fermetures de la production d’engrais à base d’ammoniac ont été annoncées par le géant allemand de la chimie, BASF, en Belgique et en Allemagne, pour une durée indéterminée. Cela concerne également la production d’AdBlue, un additif pour carburant diesel à base d’ammoniac.

D’autres fermetures sont en cours à Achema en Lituanie et à OCI aux Pays-Bas. Yara International réduit de 40% sa production d’engrais à base d’ammoniac dans l’UE. Fertiberia en Espagne ferme une usine ainsi que OPZ en Ukraine, un important producteur d’engrais. En Autriche, Borealis AG a fermé sa production et le plus grand producteur d’ammoniac d’Allemagne, SKW Piesteritz, a réduit sa production de 20%.

Aggravant la crise mondiale des engrais, l’administration Biden a imposé en août des sanctions au gouvernement biélorusse, désignant explicitement Belaruskali OAO, le quatrième producteur mondial d’engrais, pour avoir « soutenu le régime biélorusse aux dépens du peuple biélorusse ». Belaruskali contrôle environ un cinquième du marché mondial des engrais à base de potasse.

Le cœur de la sécurité alimentaire mondiale

Les engrais à base d’azote sont de loin les plus utilisés dans l’agriculture mondiale, soit environ trois quarts de tous les engrais commerciaux. Depuis la mise au point du procédé Haber-Bosch en Allemagne juste avant la Première Guerre mondiale, la production artificielle d’engrais azotés a soutenu l’énorme expansion de la productivité agricole. Les engrais azotés sont fabriqués à partir d’ammoniac (NH3) produit par le procédé Haber-Bosch. Ce procédé consomme beaucoup d’énergie et utilise du gaz naturel (CH4), qui est du méthane, pour fournir de l’hydrogène. Ce NH3 ou ammoniac est utilisé comme matière première pour d’autres engrais azotés, comme le nitrate d’ammonium anhydre (NH4NO3) et l’urée (CO(NH2)2). Depuis la Seconde Guerre mondiale, le rendement des cultures est devenu fortement dépendant des engrais azotés. On estime que pour les États-Unis, les rendements moyens du maïs diminueraient de 40% sans les engrais azotés.

Aujourd’hui, on estime que la moitié de la population mondiale dépend peut-être des engrais azotés. Selon des études publiées dans la revue scientifique Nature, 48% de la population mondiale en 2008 dépendait des engrais azotés pour son accès quotidien à la nourriture. « Cela signifie que les engrais azotés ont assuré en 2015 la sécurité alimentaire de 3,5 milliards de personnes qui, autrement, seraient mortes de faim ».

Le choc de la Chine

Ajoutant un énorme choc à la pénurie mondiale croissante d’engrais, Pékin a décidé ces dernières semaines de réduire fortement ou de geler les exportations d’engrais pour diverses raisons, notamment des pénuries de charbon et de gaz naturel pour l’énergie électrique et une tentative paniquée de contrôler l’inflation intérieure. Les inondations record de l’été dans la province du Henan ont touché le cœur de la région céréalière de la Chine, et le gouvernement a lancé une campagne pour que les citoyens se soumettent à une « campagne d’assiettes propres 2.0 » afin de mettre fin au gaspillage alimentaire, ce qui, selon certains, est un moyen de masquer les graves échecs de récolte.

La Chine, l’Inde et les États-Unis sont de loin les plus grands utilisateurs mondiaux d’engrais azotés en tonnes par acre. La Chine est également l’un des principaux exportateurs d’engrais. En septembre, le gouvernement a annoncé l’interdiction d’exporter des engrais azotés et phosphatés jusqu’en juin 2022. En raison de la flambée des prix mondiaux du gaz naturel et du charbon importé par la Chine, le pays a connu d’importantes coupures d’électricité dues à la fermeture de compagnies d’électricité plutôt que de vendre de l’énergie à perte. L’une des conséquences de cette crise complexe est l’interdiction d’exporter des engrais. La Chine est le plus grand exportateur d’engrais azotés à base d’urée, représentant près d’un tiers de l’offre mondiale, et est également un grand fabricant de phosphate.

En Bavière, dans le sud de l’Allemagne, les agriculteurs seraient dans l’impossibilité d’acheter des engrais au moins jusqu’à l’été prochain. L’extension de la crise mondiale des engrais entraînera une forte réduction des cultures de maïs fourrager, de blé, de riz, de café et autres en 2022. Cette crise survient alors que l’inflation des prix des denrées alimentaires est la plus forte depuis des décennies, et qu’elle est encore aggravée par les mesures du Covid et les perturbations du commerce maritime mondial.

Attaque du méthane lors de la COP26

Derrière la crise croissante de la pénurie d’engrais dans le monde se cache la multiplication par cinq du prix du méthane ou du gaz naturel, comme on l’appelle habituellement. Cette situation trouve son origine dans les politiques vertes délibérément « anti-carbone » de l’administration Biden et de l’Union européenne avec son programme « Fit for 55 » visant à réduire les émissions de CO2 de 55% d’ici 2030. L’administration Biden a forcé le désinvestissement dans le gaz de schiste américain, et l’expansion forcée des énergies vertes hautement subventionnées comme l’éolien et le solaire ont créé un réseau électrique peu fiable. Lorsque le vent ne souffle pas ou que le soleil ne brille pas, l’énergie électrique alternative fait défaut. Le stockage est un énorme problème. Ce n’était pas si grave lorsque l’énergie solaire ou éolienne ne représentait qu’un infime pourcentage du réseau. Mais aujourd’hui, dans des pays comme l’Allemagne, qui dépend de l’énergie, les alternatives peuvent représenter 42% de la consommation électrique brute. Alors que les centrales nucléaires et au charbon sont taxées jusqu’à l’extinction pour la folie du zéro carbone, les prix du pétrole et du gaz naturel explosent. Les nouveaux investissements dans l’exploitation des hydrocarbures s’effondrent en conséquence, et les réserves sont limitées au moment même où tout le monde en a besoin.

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dimanche 7 novembre 2021

La technique répétitive de la peur basée sur du vent… sans épidémie réelle

par Gérard Delépine.

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N’ayez plus peur : il n’y a plus d’épidémie en France ni dans les pays voisins

Nos gouvernants et les médias complices tentent par tous les moyens1,2,3 de nous terroriser à nouveau pour prolonger le plus longtemps possible la sidération du peuple, prolonger l’état d’urgence et instaurer le contrôle de la population par le passe, le QR code, la reconnaissance faciale généralisée, et peut-être des élections tranquilles avec pass… Vive le crédit social chinois, pensent-ils, mais nous ne sommes pas des Chinois…

Mais l’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels publiés par l’OMS qu’il faut communiquer largement à notre président et à notre premier ministre, comme nous avons interpellé les députés et sénateurs, avec une certaine écoute.

Voici les éléments factuels à leur communiquer.

Jean Castex veut nous effrayer en parlant de « cas » sans donner de chiffres bruts

Depuis que la mortalité a presque disparu, la propagande de la terreur n’égrène plus le nombre de morts quotidiens, ni celui des hospitalisés, mais seulement celui des tests PCR positifs, dont un grand nombre sont des faux positifs, ne démontrant pas qu’il s’agit de malades, ni de porteurs de virus, ni de possibles contaminateurs, ni de futurs malades. Rappelons que le caractère non fiable du test PCR a été dénoncé par des tribunaux dès octobre 2020 et également par l’OMS courant 2021.

Et quand un média cite les « décès du jour » comme le 5 novembre par exemple sur CNews, il omet de relativiser le chiffre par rapport à la mortalité quotidienne globale : 28 morts attribués au covid versus mortalité journalière habituelle en France de l’ordre de 1700 personnes par jour dont environ 500 cancéreux… Le cancer ne paie plus pour faire pleurer les foules ? Les morts imputés au pseudovaccin seraient importants à connaître également.

De plus, il parle « d’augmentation forte de cas », mais n’en donne pas les chiffres bruts et ne compare pas notre situation à celles des pays voisins. Nous réparerons ces « oublis » en citant les derniers chiffres de l’OMS et les courbes de OurWorldinData.

En France, le nombre de cas est globalement bas et stable

Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55 000.

Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,0009. Aucune raison de s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20 000 cas) ou anglais (40 000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre) et qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur mortalité, comme nous le verrons ci-après.

La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles4 d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur médecin, nécessitent des soins et qui parfois meurent de maladie.

Les chiffres du réseau Sentinelles montrent que l’épidémie est terminée

D’après le réseau Sentinelles5, l’incidence est inférieure à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100 000 habitants en 2016)

Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas aux infections liées au covid, mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aiguës – taux fixé plus bas qu’avant 2020 –, pour mieux inquiéter la population.

En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021) :

Publié le 03/11/2021

Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [3 ; 8]), ce qui représente 3414 [1816 ; 5012] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3802 [2429 ; 5175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2 (COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les enfants entre 0 et 4 ans.

D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter :

  • une circulation des rhinovirus (hRV),
  • virus respiratoire syncytial (VRS),
  • métapneumovirus (hMPV)
  • la detection de trois virus grippaux de type A (deux en semaine 38 en Île-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un en semaine 42 en Nouvelle-Aquitaine) ». selon le réseau Sentinelles ».
Les chiffres de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France

Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de moins de 2% de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un problème sanitaire grave.

En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des modélisations « catastrophes » de l’Institut Pasteur, toujours démenties par les faits qui ne constituent que des arguments de propagande terrorisante.

Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021

Que ce soit en Belgique, Pays-Bas, Portugal, Danemark, Suède, Norvège, Islande, Allemagne, Espagne, Italie, Suisse, Grande-Bretagne, Irlande, Finlande comme l’illustrent les courbes de OurWorldinData covid tracées d’après les données de l’OMS.

Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial

Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et moins mortifère. C’est le cas du variant delta dont la forte propagation n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.

Prévoir l’avenir est difficile

Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.

Même si le covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.

N’ayez plus peur.

N’écoutez plus les désinformations officielles qui ne visent qu’à prolonger une terreur irrationnelle qui empêche de réfléchir.

Regardez les faits, seulement les faits avérés et les chiffres officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens. Vous constaterez que l’épidémie est terminée.

Analysez les données de l’OMS sur l’Afrique qui souffre de paludisme en les comparant aux pays africains qui n’ont pas utilisé d’antipaludéens et vous verrez que les antipaludéens sont très efficaces.

Analysez les données de l’OMS sur l’Inde et vous serez convaincu de l’efficacité de l’Ivermectine.

N’ayez plus peur, mais prenez vos précautions en achetant dès maintenant Nivaquine et Ivermectine qui ne coûtent rien et se conservent plusieurs années pendant qu’ils sont autorisés, car il est à craindre qu’ils ne soient plus disponibles quand ils seraient nécessaires.

source : https://nouveau-monde.ca

  1. Une modélisation-prophétie catastrophe de plus de l’institut Pasteur : P Bosetti, C Tran Kiem, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet, D Benamouzig, S Cauchemez, « Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations : a modeling study applied to France », HAL Pasteur (Septembre 2021)
  2. « O. Veran La cinquième vague du Covid-19 imminente ? La mise en garde », La Dépêche, mar. 2 novembre 2021
  3. Dans son bilan épidémiologique hebdomadaire publié jeudi 4 novembre 2021, Santé publique France prévient : « Une nouvelle fois : “la reprise épidémique (du Covid, ndlr) se confirme sur le territoire métropolitain, avec un taux d’incidence en augmentation pour la troisième semaine consécutive” »
  4. « L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est défectueux. Le confinement n’a aucune base scientifique », (lemediaen442.fr)
  5. Le réseau Sentinelles officiellement chargé de la surveillance des épidémies saisonnières rapporte le nombre de malades vus par les médecins de ville et estime l’incidence de la maladie dans la population.
    La surveillance des IRA est effectuée en collaboration avec Sante publique France, le Centre national de Référence (CNR) des infections respiratoires (Institut Pasteur à Paris et Hospices Civils de Lyon), et le laboratoire de virologie de l’Université de Corse.