Économie politique Maître de conférences HDR honoraire [ex Université de Bordeaux , ex Sciences Po Bordeaux, ex Laboratoire les Afriques dans le Monde]
Ajustement
Sociétal : grandeur et décadence de la classe moyenne
à paraitre sous peu, voici l'introduction:
Le développement d’une classe
moyenne nombreuse au Nord apparaît caractéristique de la période des Trente glorieuses et son émergence au
Sud coïncide avec la phase développementaliste.
L’apparition et la
densification de la classe moyenne sont des éléments majeurs de l’ajustement
structurel fordiste. Le système dans sa version du capitalisme industriel va
engendrer un façonnage sociétal permettant à la fois l’expansion géographique
et l’intensification du capitalisme.
Pour paraphraser Max Weber, il
s’agit de diffuser le plus largement et le plus rapidement possible
« l’esprit du capitalisme » par le biais de la séduction et de la
subornation. Pour ce faire, le niveau de consommation de biens et services (consommation
de masse) doit être augmenté grâce à la redistribution des gains de
productivité (production de masse) et à l’action d’un État
« bienveillant ».
Le rôle de l’État apparaît
déterminant si bien que certains qualifient cette période de « capitalisme
régulé » inspiré par Keynes. Ainsi, l’État canaliserait le capitalisme
pour en éviter les travers les plus importants. Au contraire, je pense que
l’État est en permanence au service du système et les phases fordiste et
développementaliste n’échappent pas à la
règle. Ceci en contradiction avec la pensée dominante qui présente ces périodes
comme des victoires des opprimés sur les nantis.
Dans ce contexte, l’État
inscrirait son intervention dans le cadre de l’ajustement structurel fordiste (ou
fordiste-périphérique) voulu par le système. L’État-providence au Nord et
l’État développementaliste au Sud seraient les artisans façonnant les
structures sociétales selon les plans déterminés par le système de domination,
d’exploitation et de contrôle.
Au cours de cette phase, la
classe moyenne apparaît comme un paramètre majeur du changement structurel et
de l’évolution du capitalisme. Son développement est soutenu par l’État-providence au Nord et l’État nationaliste-clientéliste au Sud.
La crise du fordisme et du
développementalisme sera l’occasion d’un changement de version du système d’exploitation
pour laquelle la classe moyenne devient inutile et même coûteuse car elle obère
les possibilités de profit. En conséquence, grâce à l’État devenu malveillant, l’euthanasie
progressive de la classe moyenne s’imposera. Ainsi, le bâton succèdera-t-il à
la carotte.
Toujours en librairie : Le Règne machinal (la crise sanitaire et au-delà). Voir ici
A l’automne 2019, on nous pose la question suivante : « Que
pensez-vous du scénario de l’effondrement promu par les
"collapsologues", qui a le vent en poupe en ce moment ? »
On s’attelle à la réponse, parmi d’autres écrits et activités en cours.
Cette réponse prolifère en multiples rappels et remarques ayant trait à
la montée massive et multiforme de la conscience et de la contestation
naturiennes ; et à la montée en conséquence de toutes sortes d’épaves
politiques et intellectuelles, se flattant d’avoir soulevé cette crue,
s’étalant dessus et tâchant de la dévoyer ou de la renverser à leurs
fins propres.
L’arrivée du Virus, en février 2020, interrompt cet élan, pour nous lancer dans d’autres quêtes.
Un an plus tard, nous poursuivons cette réponse alors que les
dévoiements et les inversions se multiplient et s’amplifient de toutes
parts rendant plus que nécessaire le rappel des faits historiques. C’est
que toutes les « crises » convergent vers une crise principale, qui est
celle de la société industrielle, obligeant les faux amis et les vrais
ennemis de l’écologie radicale à occuper d’urgence cet immense champ de
manœuvres, afin d’y maintenir leur hégémonie et de récupérer, ou de
chasser, les révolutionnaires de notre temps : naturiens , luddites ,
briseurs de machines, anti-industriels et décroissants ; défenseurs des vivants politiques dans un monde vivant.
Tantôt les ennemis de la Nature tentent de nous faire prendre le drapeau
rouge, arc-en-ciel ou violet, pour le vert ; tantôt ils agitent le
drapeau vert pour combattre la nature et ses défenseurs. « L’écologie
n’appartient à personne ! » proclament ces post et néo-écologistes de la
vingt-cinquième heure. C’est pour eux une terra nullius, comme
l’Amérique autrefois et la Lune aujourd’hui. Moyennant quoi, ils
viennent chacun s’en approprier autant qu’ils peuvent, quitte à en
éliminer les Sélénites et Amérindiens. Après tout, ces derniers sont
également des colons ayant traversé le détroit de Béring voici 40 000
ans.
(...)
Pour lire le texte intégral, ouvrir le document ci-dessous.
Naomi
Klein est une grande célébrité dans le milieu « altermondialiste » —
composé de ceux qui, au lieu d’envisager une alternative à la
mondialisation, croient ou espèrent qu’une mondialisation alternative
est possible, une autre civilisation techno-industrielle mondialisée, un
autre système économique global (un autre capitalisme) : démocratique
et bio.
Jusqu’à tout récemment, et depuis 2011,
Klein siégeait au conseil d’administration de l’ONG 350.org, une ONG
internationale créée de toutes pièces grâce à l’argent des Rockefeller,
qui constituent une des plus célèbres familles de « philanthropes », et
plus précisément grâce à l’argent du Rockefeller Brothers Fund[1]. Son financement dépend aujourd’hui majoritairement de fondations privées[2],
dont la Schmidt Family Foundation (fondation privée créée en 2006 par
Eric Schmidt, président exécutif de Google, et son épouse Wendy
Schmidt), la ClimateWorks Foundation, une fondation qui regroupe, entre
autres, la David and Lucile Packard Foundation, la William and Flora
Hewlett Foundation (HP, ça vous dit quelque chose ? Hewlett-Packard, une
des principales multinationales de l’informatique) et la Ford
Foundation (Ford, tout le monde connaît) ; le Clowes Fund, Inc., lié à
la Eli Lilly and Company, une immense multinationale de l’industrie
pharmaceutique (le Prozac, c’est elle), 10e groupe pharmaceutique
mondial par son chiffre d’affaires ; la Silicon Valley Community
Foundation, dont les membres du conseil d’administration travaillent
chez Microsoft, eBay, Electronic Arts, etc. ; le New Venture Fund, une
fondation financée, entre autres, par la Rockefeller Foundation, par la
fondation de Bill & Melinda Gates, par la Ikea Foundation, etc. ; la
Overbrook Foundation, créée et encore dirigée par la famille Altschul,
dont l’actuel président, Arthur Altschul Jr., a travaillé, comme son
père avant lui, pour Goldman Sachs, et pour un paquet de multinationales
américaines dans le secteur de l’industrie pharmaceutique, de la
banque, etc. ; la Tides Foundation, qui reçoit de l’argent de Warren
Buffett, un des hommes les plus riches du monde, qui possède des
investissements dans à peu près toutes les industries du monde, et aussi
de George Soros, un autre milliardaire américain ; et de bien d’autres
fondations liées à bien d’autres industries et à bien d’autres magnats
de la finance.
Bref, 350 fait partie de ces ONG
financées par des gros sous, étatiques ou entrepreneuriaux. Un large pan
de l’altermondialisme dépend d’ailleurs de ces mêmes gros sous.
Pourquoi ne pas financer une opposition aussi inoffensive ? C’est du
pain béni. Ils se contentent de réclamer des injustices un peu moins
injustes (« réduire les écarts de salaire », « rehausser le SMIC »,
« Restaurer et moderniser l’ISF », « Imposer les multinationales »,
etc.), une servitude totale (« un emploi pour toutes et tous[3] », des « emplois verts », etc.), ils sont rigoureusement non-violents… non, vraiment, c’est excellent.
Début 2019, Naomi Klein s’est entretenue
avec Stephen Heinz, « le président visionnaire du Rockefeller Brothers
Fund », qui finance l’ONG de Klein (350). Lors de leur échange cordial,
amical (entre patron et employée), intitulé « Dialogue sur la démocratie
et la capitalisme[4]
», Heinz a entre autres affirmé : « Nous pouvons être à la fois de bons
gestionnaires du capital et aussi de ce que les dollars font. » Klein a
fait remarquer que la philanthropie, dans certains cas, entrave le
changement en sous-finançant les organisations qui remettent en cause
les systèmes économiques dominants. « Ce n’est pas que la philanthropie
n’a pas de rôle à jouer », a‑t-elle déclaré, « mais comment les
subventions peuvent-elles encourager plus de démocratie et d’équité ?
Comment financer les personnes qui réclament un changement systémique
plutôt que celles qui pratiquent l’incrémentalisme ? »
Car bien entendu, les plaidoyers en
faveur du « changement systémique » que Klein appelle de ses vœux, qui
consiste en des inégalités moins inégales, des injustices moins
injustes, des emplois pour toutes et tous et plus verts (quel incroyable
changement systémique), ont besoin d’être hautement financés par le
capital !
Heinz a également noté que les défauts
du capitalisme avaient été mentionnés lors du forum de Davos de cette
année. « Les gens reconnaissent qu’il y a quelque chose de
fondamentalement défectueux dans la façon dont le capitalisme est
pratiqué aujourd’hui », a‑t-il dit. « C’est une grande opportunité. Les
gens reconnaissent que les choses ne vont pas et que nous devons
travailler ensemble de manière démocratique pour un avenir meilleur. »
Il a également affirmé : « Je ne suggère certainement pas que nous
devrions nous débarrasser du système du marché lui-même — ni du système
de l’État-nation ou de la démocratie, d’ailleurs. Ce que je pense qu’il
faut rejeter, c’est l’interprétation néolibérale du système du marché. »
Il s’agit en effet, selon Heinz, de « changer la pratique du
capitalisme lui-même ». Bref, un autre capitalisme est possible, vert et
qui nous exploite (emploie) tous, et nous rétribue un peu moins mal.
Si toi aussi tu veux militer pour ça, tu
pourras peut-être obtenir une subvention des Rockefeller, ou de l’AFD
ou de France Télévisions pour réaliser un documentaire super
enthousiasmant (comme Cyril Dion). N’hésite pas à leur envoyer ton CV.
Ci-dessus, Naomi Klein prend la pose, pour la promotion de son livre This Changes Everything (paru en français sous le titre Tout peut changer),
avec Angel Gurria, ministre des affaires étrangères du Mexique de
décembre 1994 à janvier 1998, puis ministre des finances de janvier 1998
à décembre 2000, ennemi de longue date des zapatistes et actuel
Secrétaire général de l’Organisation de coopération et de développement
économiques (OCDE). (Il y a quelques années, Klein était prise en photo
aux côtés du sous-commandant Marcos. Aujourd’hui, c’est aux côtés de son
ennemi juré. Voilà un « changement systémique ».)
Ci-dessus, Naomi Klein prend la pose, pour la promotion de son livre This Changes Everything (paru en français sous le titre Tout peut changer),
avec Angel Gurria, ministre des affaires étrangères du Mexique de
décembre 1994 à janvier 1998, puis ministre des finances de janvier 1998
à décembre 2000, ennemi de longue date des zapatistes et actuel
Secrétaire général de l’Organisation de coopération et de développement
économiques (OCDE). (Il y a quelques années, Klein était prise en photo
aux côtés du sous-commandant Marcos. Aujourd’hui, c’est aux côtés de son
ennemi juré. Voilà un « changement systémique ».)
Ci-dessus, Susan Rockefeller prend la pose, toujours pour la promotion du livre This Changes Everything
de Klein. En 2015, Avi Lewis, le mari de Naomi Klein, a réalisé un film
documentaire pour aller avec ce livre de Klein, également intitulé This Changes Everything.
Documentaire qui a entre autres compté, parmi ses producteurs et
coproducteurs exécutifs : Pamela Anderson, Danni Glover et Susan
Rockefeller. Documentaire qui a également été financé grâce à
d’importantes donations de la part de la Schmidt Family Foundation
[fondation privée créée en 2006 par Eric Schmidt, président exécutif de
Google, et son épouse Wendy Schmidt], de la Fondation Ford, du
Rockefeller Brothers Fund, etc.[5]
Naomi Klein travaille, par ailleurs, pour un media numérique appelé The Intercept,
et financé par First Look Media, une compagnie de presse numérique
états-unienne créée par le milliardaire Pierre Omidyar, fondateur d’eBay
et « philanthrope » majeur. Si The Intercept publie
régulièrement des articles à charge contre le gouvernement états-unien,
de justes dénonciations de divers scandales, il s’agit au bout du compte
d’un média relativement classique, promouvant les idées usuelles de la
gauche ordinaire. (Un meilleur technocapitalisme est possible. En
élisant les bons chefs, en réduisant un peu les injustices, en
développant massivement les énergies renouvelables et en écartant les
énergies fossiles, nous pourrions parvenir au meilleur des mondes.)
Naomi Klein travaille, par ailleurs, pour un media numérique appelé The Intercept,
et financé par First Look Media, une compagnie de presse numérique
états-unienne créée par le milliardaire Pierre Omidyar, fondateur d’eBay
et « philanthrope » majeur. Si The Intercept publie
régulièrement des articles à charge contre le gouvernement états-unien,
de justes dénonciations de divers scandales, il s’agit au bout du compte
d’un média relativement classique, promouvant les idées usuelles de la
gauche ordinaire. (Un meilleur technocapitalisme est possible. En
élisant les bons chefs, en réduisant un peu les injustices, en
développant massivement les énergies renouvelables et en écartant les
énergies fossiles, nous pourrions parvenir au meilleur des mondes.)
Naomi Klein travaille, par ailleurs, pour un media numérique appelé The Intercept,
et financé par First Look Media, une compagnie de presse numérique
états-unienne créée par le milliardaire Pierre Omidyar, fondateur d’eBay
et « philanthrope » majeur. Si The Intercept publie
régulièrement des articles à charge contre le gouvernement états-unien,
de justes dénonciations de divers scandales, il s’agit au bout du compte
d’un média relativement classique, promouvant les idées usuelles de la
gauche ordinaire. (Un meilleur technocapitalisme est possible. En
élisant les bons chefs, en réduisant un peu les injustices, en
développant massivement les énergies renouvelables et en écartant les
énergies fossiles, nous pourrions parvenir au meilleur des mondes.)
On
avait déjà exposé le 3 juillet l'extrême rapidité de travail de la
micro-entreprise de sondages politiquement orientés Odoxa (http://stratediplo.blogspot.com/2021/07/encore-un-pianiste-dans-un-bordel.html),
capable de trouver en une nuit, avec force exposés graphiques et
statistiques, une justification "démocratique" à une quasi-décision
gouvernementale annoncée quelques heures plus tôt.
L'exploit
amenait presque à se demander si cet argumentaire travaillé aux mots
soigneusement pesés, en dépit d'un aveu de partialité dans les
commentaires du chef de cette jeune micro-entreprise, ne ressemblait
pas plus au résultat de plusieurs mois de conception d'une campagne de
réclame institutionnelle commandée sur cahier des charges et appel
d'offres, qu'au résultat de quelques heures de mise en forme
précipitée des résultats d'un interrogatoire téléphonique rapidement
improvisé la veille en réaction à la déclaration gouvernementale du
jour. On évoquait même son concept particulier (ouvertement assumé) de
choisir des sondables aux opinions tranchées sur le sujet étudié
plutôt que de devoir traiter avec des pourcentages de "sans opinion"
et de demi-teintes, et ses méthodes révolutionnaires décriées dans la
profession du sondage d'opinion.
Ce
pianiste de bordel, pour reprendre l'image popularisée par Jacques
Séguéla, vient de se surpasser en publiant hier 24 novembre les
résultats d'un sondage qu'elle dit avoir effectué les 24 et 25,
c'est-à-dire dont la synthèse ne pouvait être faite qu'aujourd'hui au
plus tôt. La presse française du soir fait déjà ses gros titres sur ce
sondage "des 24 et 25 novembre" sur les mêmes 1005 personnes
"représentatives" aux opinions très tranchées sur l'imposition de la
génoprophylaxie, qui conforte à point nommé les décisions juste
annoncées, ou sur le point de l'être, par la dictature (au sens
d'exécutif doté exceptionnellement des pleins pouvoirs pour la durée
de la crise). Mais l'institut artisanal de sondage ultra-réactif a
publié résultats et synthèse, sur son site internet, dès hier 24
novembre (les incrédules voudront bien vérifier rapidement avant que
ce ne soit corrigé), en avance sur l'envoi de son communiqué aux
agences de presse.
On
ne va pas livrer ici le sujet et les détails dudit sondage, qui n'est
pas pertinent dans une démocratie où la politique est censée être
décidée en parlement élu, ni ouvrir là le débat sur les limites
acceptables de la démocratie, à savoir si une majorité peut imposer
ses choix aux minorités, jusque dans leurs chairs. Car pour mémoire, si
les opposants à l'imposition des injections génoprophylactiques
expérimentales n'entendent cependant pas interdire ces injections aux
volontaires (en dépit des risques de stimulation et diffusion de
mutations virales), par contre les partisans de la mithridatisation
généralisée, eux, du moins d'après la presse et les politiciens,
entendent fermement imposer ces injections aux autres citoyens.
L'objet
de cet article est seulement d'attirer l'attention sur les méthodes
de cette micro-officine, collaboratrice (emblématique mais
certainement pas unique) d'une campagne de conviction gouvernementale à
but coercitif.
[Édito] … et le sourire de la crémière : la Chine reçoit des centaines de millions d’euros « d’aide » par la France
Epoch Times
Les débats à
l’Assemblée Nationale sur le projet de loi de finances 2022 ont fait
ressortir ces dernières semaines une pépite de la taille d’un boulet :
sous prétexte d’aide au développement, la France verse encore chaque
année des centaines de millions d’euros d’argent public
au régime chinois. Le breton Marc Le Fur, député LR des Côtes d’Armor
et rapporteur spécial de la commission des finances, de l’économie
générale et du contrôle budgétaire, a mis les pieds dans le plat, devant
le ministre des Affaires Étrangères Jean-Yves Le Drian, pour critiquer « la naïveté dont nous faisons bien souvent preuve. »
Le député rappelle la règle dite des aides déliées à laquelle s’astreint la France : « Quand
nous aidons un État, nous ne pouvons pas exiger que cela bénéficie à
nos entreprises. Cette règle a été élaborée au début des années 2000, à
l’époque du doux commerce et de la concurrence qui devait être idéale.
Tout ça est bien loin : nous sommes désormais dans un monde
concurrentiel. Nous sommes en particulier concurrencés dans l’aide
publique au développement par des pays qui ne respectent pas la règle
des aides déliées : la Chine ou la Russie, par exemple. »
Le système des aides déliées signifie que l’argent versé par la
France à des pays en voie de développement ne peut être mobilisé par
l’intermédiaire d’entreprises françaises opérant dans ses pays. L’argent
français paie donc des entreprises étrangères, souvent concurrentes de
nos entreprises nationales. Dans son rapport, Marc Le Fur rappelle que « la
France préfère conserver intacte la souveraineté économique et
financière des pays bénéficiaires de l’aide française. Le développement
mené par la Chine a au contraire souvent pour conséquence de créer un
endettement difficilement contrôlable pour les pays. »
La Chine, quand elle « aide » les pays en développement, le fait
effectivement en contraignant ceux-ci à mobiliser exclusivement des
entreprises chinoises. Parallèlement, elle mobilise l’argent
généreusement offert par le gouvernement français (plus de 370 millions
d’euros rien que sur la période 2018-2020 !) pour subventionner ses
propres entreprises. C’est par ce type de précieux soutien que Huawei
peut ensuite proposer des antennes 5G à des prix imbattables et ainsi
capter le marché de la donnée mobile en Europe… tout cela au bénéfice
des services de renseignement chinois. Des dizaines de millions d’euros
supplémentaires sont consacrés à l’achat des vaccins anti-Covid chinois,
dont la France ne veut pas, mais qu’elle fournit par contre aux pays
africains.
Le rapport de Marc Le Fur déplore ainsi « une
limite persistante de l’aide française, qui comprend encore trop peu de
crédits à destination des pays prioritaires, tandis que la Chine, en
passe de devenir la première puissance économique mondiale, reste un
pays bénéficiaire de l’aide au développement. En 2020, la Chine est le
neuvième principal bénéficiaire de l’APD bilatérale ». C’est-à-dire loin devant le Mali, le Liban et bien d’autres pays à
qui cette aide permettrait de développer agriculture, infrastructures
pour garantir la subsistance de leurs citoyens… et éviter qu’ils
souhaitent risquer leur vie en tentant de rejoindre la France
illégalement.
Nos impôts subventionnent donc la plus grande dictature au monde,
alors même qu’elle est proche d’être la première puissance mondiale,
mobilise tous ses efforts pour ruiner notre économie et notre société,
et développe un programme militaire agressif qui fait craindre un
conflit d’ampleur mondiale. Ces ressources qui devraient être mobilisées
pour le bien direct – ou indirect – des Français le sont à leur
détriment aussi bien à court qu’à moyen terme. Un collègue
parlementaire, visiblement remué par l’intervention de Marc Le Fur, crie
dans l’hémicycle « Copinage, copinage ! » On ne trouve plus de moyen
pour penser différemment.
Les pénuries mondiales d’énergie qui ont fait exploser les prix du
charbon, du pétrole et du gaz naturel au cours des derniers mois sont
une conséquence prévisible de la folle poursuite de politiques
économiques « zéro carbone » qui ont vu des gouvernements insensés
subventionner une part croissante de l’électricité produite par des
centrales solaires et éoliennes peu fiables. L’une des conséquences a
été la multiplication par cinq du prix du gaz naturel ou du méthane dans
le monde entier. Cela va de la Chine à l’UE, aux États-Unis et au-delà.
Cette pénurie de gaz naturel et l’explosion de son prix ont eu pour
conséquence une crise croissante de la production d’engrais pour
l’agriculture mondiale. Tout ceci n’est peut-être pas un accident. Il
s’inscrit dans l’agenda de la Grande Réinitialisation de l’ONU 2030 du
Forum économique mondial.
Les engrais à base d’ammoniac fabriqués à partir d’azote (la plus
grande partie de notre air, donc jamais en pénurie) et de gaz naturel ou
de méthane (CH4) représentent près de 70% de tous les engrais utilisés
pour soutenir les principales cultures agricoles telles que le blé, le
maïs, le riz et même le café. La flambée des prix du gaz naturel, de 300
à 500% au cours des derniers mois, a eu un effet dévastateur sur la
production mondiale d’engrais, dont 80% du coût de fabrication des
engrais ammoniacaux est imputable au gaz naturel.
Lorsque l’ouragan Ida a traversé la Louisiane le 25 août, le plus
grand complexe d’usines d’ammoniac du monde, appartenant à CF
Industries, a été fermé pour des raisons de sécurité et n’a rouvert que
dix jours plus tard. Curieusement, à ce moment-là, deux autres usines de
la même CF Industries, celles du Royaume-Uni, ont annoncé qu’elles
fermeraient deux autres usines d’engrais le 22 septembre, en invoquant
le prix élevé du gaz naturel comme cause, alors que leur usine de
Louisiane venait d’être fermée pendant dix jours. Ces deux usines
fournissent environ deux tiers de la demande intérieure d’engrais au
Royaume-Uni. Le gouvernement a été contraint d’accorder des subventions
d’urgence à CF Industries pour rouvrir temporairement l’une des deux
usines afin d’atténuer les pressions.
L’effet combiné de ces trois fermetures majeures par le même groupe a
aggravé la crise de l’approvisionnement mondial en engrais. Ce n’est
peut-être qu’une coïncidence si les deux plus grands actionnaires de CF
Industries sont Vanguard et BlackRock.
Cette crise fait boule de neige. Début octobre, des fermetures de la
production d’engrais à base d’ammoniac ont été annoncées par le géant
allemand de la chimie, BASF, en Belgique et en Allemagne, pour une durée
indéterminée. Cela concerne également la production d’AdBlue, un
additif pour carburant diesel à base d’ammoniac.
D’autres fermetures sont en cours à Achema en Lituanie et à OCI aux
Pays-Bas. Yara International réduit de 40% sa production d’engrais à
base d’ammoniac dans l’UE. Fertiberia en Espagne ferme une usine ainsi
que OPZ en Ukraine, un important producteur d’engrais. En Autriche,
Borealis AG a fermé sa production et le plus grand producteur d’ammoniac
d’Allemagne, SKW Piesteritz, a réduit sa production de 20%.
Aggravant la crise mondiale des engrais, l’administration Biden a
imposé en août des sanctions au gouvernement biélorusse, désignant
explicitement Belaruskali OAO, le quatrième producteur mondial
d’engrais, pour avoir « soutenu le régime biélorusse aux dépens du peuple biélorusse ». Belaruskali contrôle environ un cinquième du marché mondial des engrais à base de potasse.
Le cœur de la sécurité alimentaire mondiale
Les engrais à base d’azote sont de loin les plus utilisés dans
l’agriculture mondiale, soit environ trois quarts de tous les engrais
commerciaux. Depuis la mise au point du procédé Haber-Bosch en Allemagne
juste avant la Première Guerre mondiale, la production artificielle
d’engrais azotés a soutenu l’énorme expansion de la productivité
agricole. Les engrais azotés sont fabriqués à partir d’ammoniac (NH3)
produit par le procédé Haber-Bosch. Ce procédé consomme beaucoup
d’énergie et utilise du gaz naturel (CH4), qui est du méthane, pour
fournir de l’hydrogène. Ce NH3 ou ammoniac est utilisé comme matière
première pour d’autres engrais azotés, comme le nitrate d’ammonium
anhydre (NH4NO3) et l’urée (CO(NH2)2). Depuis la Seconde Guerre
mondiale, le rendement des cultures est devenu fortement dépendant des
engrais azotés. On estime que pour les États-Unis, les rendements moyens
du maïs diminueraient de 40% sans les engrais azotés.
Aujourd’hui, on estime que la moitié de la population mondiale dépend
peut-être des engrais azotés. Selon des études publiées dans la revue
scientifique Nature, 48% de la population mondiale en 2008 dépendait des engrais azotés pour son accès quotidien à la nourriture. « Cela
signifie que les engrais azotés ont assuré en 2015 la sécurité
alimentaire de 3,5 milliards de personnes qui, autrement, seraient mortes de faim ».
Le choc de la Chine
Ajoutant un énorme choc à la pénurie mondiale croissante d’engrais,
Pékin a décidé ces dernières semaines de réduire fortement ou de geler
les exportations d’engrais pour diverses raisons, notamment des pénuries
de charbon et de gaz naturel pour l’énergie électrique et une tentative
paniquée de contrôler l’inflation intérieure. Les inondations record de
l’été dans la province du Henan ont touché le cœur de la région
céréalière de la Chine, et le gouvernement a lancé une campagne pour que
les citoyens se soumettent à une « campagne d’assiettes propres 2.0 »
afin de mettre fin au gaspillage alimentaire, ce qui, selon certains,
est un moyen de masquer les graves échecs de récolte.
La Chine, l’Inde et les États-Unis sont de loin les plus grands
utilisateurs mondiaux d’engrais azotés en tonnes par acre. La Chine est
également l’un des principaux exportateurs d’engrais. En septembre, le
gouvernement a annoncé l’interdiction d’exporter des engrais azotés et
phosphatés jusqu’en juin 2022. En raison de la flambée des prix mondiaux
du gaz naturel et du charbon importé par la Chine, le pays a connu
d’importantes coupures d’électricité dues à la fermeture de compagnies
d’électricité plutôt que de vendre de l’énergie à perte. L’une des
conséquences de cette crise complexe est l’interdiction d’exporter des
engrais. La Chine est le plus grand exportateur d’engrais azotés à base
d’urée, représentant près d’un tiers de l’offre mondiale, et est
également un grand fabricant de phosphate.
En Bavière, dans le sud de l’Allemagne, les agriculteurs seraient
dans l’impossibilité d’acheter des engrais au moins jusqu’à l’été
prochain. L’extension de la crise mondiale des engrais entraînera une
forte réduction des cultures de maïs fourrager, de blé, de riz, de café
et autres en 2022. Cette crise survient alors que l’inflation des prix
des denrées alimentaires est la plus forte depuis des décennies, et
qu’elle est encore aggravée par les mesures du Covid et les
perturbations du commerce maritime mondial.
Attaque du méthane lors de la COP26
Derrière la crise croissante de la pénurie d’engrais dans le monde se
cache la multiplication par cinq du prix du méthane ou du gaz naturel,
comme on l’appelle habituellement. Cette situation trouve son origine
dans les politiques vertes délibérément « anti-carbone » de
l’administration Biden et de l’Union européenne avec son programme « Fit
for 55 » visant à réduire les émissions de CO2 de 55% d’ici 2030.
L’administration Biden a forcé le désinvestissement dans le gaz de
schiste américain, et l’expansion forcée des énergies vertes hautement
subventionnées comme l’éolien et le solaire ont créé un réseau
électrique peu fiable. Lorsque le vent ne souffle pas ou que le soleil
ne brille pas, l’énergie électrique alternative fait défaut. Le stockage
est un énorme problème. Ce n’était pas si grave lorsque l’énergie
solaire ou éolienne ne représentait qu’un infime pourcentage du réseau.
Mais aujourd’hui, dans des pays comme l’Allemagne, qui dépend de
l’énergie, les alternatives peuvent représenter 42% de la consommation
électrique brute. Alors que les centrales nucléaires et au charbon sont
taxées jusqu’à l’extinction pour la folie du zéro carbone, les prix du
pétrole et du gaz naturel explosent. Les nouveaux investissements dans
l’exploitation des hydrocarbures s’effondrent en conséquence, et les
réserves sont limitées au moment même où tout le monde en a besoin.
N’ayez plus peur : il n’y a plus d’épidémie en France ni dans les pays voisins
Nos gouvernants et les médias complices tentent par tous les moyens1,2,3
de nous terroriser à nouveau pour prolonger le plus longtemps possible
la sidération du peuple, prolonger l’état d’urgence et instaurer le
contrôle de la population par le passe, le QR code, la reconnaissance
faciale généralisée, et peut-être des élections tranquilles avec pass…
Vive le crédit social chinois, pensent-ils, mais nous ne sommes pas des
Chinois…
Mais l’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays
d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels
publiés par l’OMS qu’il faut communiquer largement à notre président et à
notre premier ministre, comme nous avons interpellé les députés et
sénateurs, avec une certaine écoute.
Voici les éléments factuels à leur communiquer.
Jean Castex veut nous effrayer en parlant de « cas » sans donner de chiffres bruts
Depuis que la mortalité a presque disparu, la propagande de la
terreur n’égrène plus le nombre de morts quotidiens, ni celui des
hospitalisés, mais seulement celui des tests PCR positifs, dont un grand
nombre sont des faux positifs, ne démontrant pas qu’il s’agit de
malades, ni de porteurs de virus, ni de possibles contaminateurs, ni de
futurs malades. Rappelons que le caractère non fiable du test PCR a été
dénoncé par des tribunaux dès octobre 2020 et également par l’OMS
courant 2021.
Et quand un média cite les « décès du jour » comme le 5 novembre par exemple sur CNews,
il omet de relativiser le chiffre par rapport à la mortalité
quotidienne globale : 28 morts attribués au covid versus mortalité
journalière habituelle en France de l’ordre de 1700 personnes par jour
dont environ 500 cancéreux… Le cancer ne paie plus pour faire pleurer
les foules ? Les morts imputés au pseudovaccin seraient importants à
connaître également.
De plus, il parle « d’augmentation forte de cas », mais n’en donne pas les chiffres bruts et ne compare pas notre situation à celles des pays voisins. Nous réparerons ces « oublis » en citant les derniers chiffres de l’OMS et les courbes de OurWorldinData.
En France, le nombre de cas est globalement bas et stable
Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55 000.
Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour
de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,0009. Aucune raison de
s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20 000 cas) ou
anglais (40 000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre)
et qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur
mortalité, comme nous le verrons ci-après.
La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles4
d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur
médecin, nécessitent des soins et qui parfois meurent de maladie.
Les chiffres du réseau Sentinelles montrent que l’épidémie est terminée
D’après le réseau Sentinelles5,l’incidence est inférieure à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100 000 habitants en 2016)
Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas aux infections liées au covid, mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aiguës – taux fixé plus bas qu’avant 2020 –, pour mieux inquiéter la population.
En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021) :
Publié le 03/11/2021
Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19)
vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour
100 000 habitants (IC 95% [3 ; 8]), ce qui représente 3414
[1816 ; 5012] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin
généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières
semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3802 [2429 ;
5175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).
« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer
par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2
(COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les
enfants entre 0 et 4 ans.
D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter :
une circulation des rhinovirus (hRV),
virus respiratoire syncytial (VRS),
métapneumovirus (hMPV)
la detection de trois virus grippaux de type A
(deux en semaine 38 en Île-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un
en semaine 42 en Nouvelle-Aquitaine) ». selon le réseau Sentinelles ».
Les chiffres de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France
Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également
très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de
moins de 2% de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un
problème sanitaire grave.
En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des
modélisations « catastrophes » de l’Institut Pasteur, toujours démenties
par les faits qui ne constituent que des arguments de propagande
terrorisante.
Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021
Que ce soit en Belgique, Pays-Bas, Portugal, Danemark, Suède,
Norvège, Islande, Allemagne, Espagne, Italie, Suisse, Grande-Bretagne,
Irlande, Finlande comme l’illustrent les courbes de OurWorldinData covid
tracées d’après les données de l’OMS.
Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial
Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et
moins mortifère. C’est le cas du variant delta dont la forte propagation
n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.
Prévoir l’avenir est difficile
Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de
l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison
objective de craindre l’avenir.
Même si le covid se comportait comme la grippe avec des récidives et
un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir
peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante
efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et
en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.
N’ayez plus peur.
N’écoutez plus les désinformations officielles qui ne visent qu’à prolonger une terreur irrationnelle qui empêche de réfléchir.
Regardez les faits, seulement les faits avérés et les chiffres
officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens. Vous
constaterez que l’épidémie est terminée.
Analysez les données de l’OMS sur l’Afrique qui souffre de paludisme
en les comparant aux pays africains qui n’ont pas utilisé
d’antipaludéens et vous verrez que les antipaludéens sont très
efficaces.
Analysez les données de l’OMS sur l’Inde et vous serez convaincu de l’efficacité de l’Ivermectine.
N’ayez plus peur, mais prenez vos précautions en achetant dès
maintenant Nivaquine et Ivermectine qui ne coûtent rien et se conservent
plusieurs années pendant qu’ils sont autorisés, car il est à craindre
qu’ils ne soient plus disponibles quand ils seraient nécessaires.
Dans
son bilan épidémiologique hebdomadaire publié jeudi 4 novembre 2021,
Santé publique France prévient : « Une nouvelle fois : “la reprise
épidémique (du Covid, ndlr) se confirme sur le territoire métropolitain,
avec un taux d’incidence en augmentation pour la troisième semaine
consécutive” »
Le
réseau Sentinelles officiellement chargé de la surveillance des
épidémies saisonnières rapporte le nombre de malades vus par les
médecins de ville et estime l’incidence de la maladie dans la
population.
La surveillance des IRA est effectuée en collaboration avec Sante
publique France, le Centre national de Référence (CNR) des infections
respiratoires (Institut Pasteur à Paris et Hospices Civils de Lyon), et
le laboratoire de virologie de l’Université de Corse.